mercredi 16 septembre 2020

[NO SPOIL] DCAA : le plan pour les mois (et les années 😮) à venir

C’est toujours la même histoire : trouver l’équilibre entre faire vite mais faire, ou prendre le temps de bien faire quitte à ne rien faire. Dans le faire vite il y a ce tâtonnement que je vais devoir apprendre à maîtriser car il semble faire des miracles. Mais, comme vous le verrez plus loin, il ne faut pas oublier la part des ressources pour rendre compte de ma progression…


Au départ, je devais vous dévoiler le synopsis du projet F que j’ai étoffé la semaine dernière, mais il m’a semblé un peu tôt pour en parler, et je n’ai pas envie de le divulgâcher à ce stade : le synopsis sera accompagné d’une analyse évoquant des aspects importants de l’œuvre ainsi que mes motivations. Je vous garde ça au chaud pour le 3 août prochain (soit un an jour pour jour après avoir eu l’idée initiale, ce serait amusant d’ailleurs de faire un point à chaque anniversaire…En espérant aussi que je ne mette pas 10 ans à publier le projet F 😳)


Au final, et je sens que vous n’allez pas aimer, je vais vous faire une proposition : plus de publication jusqu’à juin prochain, en échange d’un plan de ce que je compte faire d’ici là. Oui, c’est radical, pas autant que l’officialisation que j’avais faite il y a deux ans, mais j’ai l’impression que j’en ai vraiment besoin.


Notez avant tout que je vous propose un plan ambitieux. Je ne garantis pas de m’y tenir, mais si je prends même quelques semaines de retard ce sera une grande avancée pour le projet DCAA.


Ce plan, le voici !

Fin de semaine 38 (cette semaine) : fin de l’étape 9 sur le tome 0

Fin septembre : premiers chapitres du tome 0 rédigés

Fin décembre : Tome 0 terminé !

Fin mars 2021 : Tome 1 terminé !

Fin Avril  2021 : Étape 9 terminée sur le tome 2

Fin Mai 2021 : Étape 9 terminée sur le tome 3


On se retrouve en juin pour voir si je n’ai pas trop dévié de ce plan, pour la suite j’aimerais commencer la méthode Kanata Nash sur le projet F, et terminer les tomes 2 et 3 pour fin 2021. Dans ce scénario, je terminerais l’arc principal  pour fin 2022, la saga fin 2023 (en me gardant le projet F pour l’année suivante ?). Tout ça me donne envie de vous faire un joli diagramme de Gantt 😅 D’ici là, portez-vous bien !

mercredi 9 septembre 2020

[NO SPOIL] Étape 9 (plan) : tout ne se passe pas comme prévu !

Jusqu’à présent, je n’avais pas remis en cause ma motivation et mon engagement dans le nouveau DCAA, je pensais devoir juste passer par de malencontreuses circonstances. Mais les derniers jours ont tendance à me faire déchanter. 


Cette coupure involontaire de quelques semaines a complètement cassé mon rythme, détruit la dynamique dans laquelle je me trouvais. Maintenant que j’ai le temps de travailler sur DCAA, je ne trouve plus l’inspiration. C’est le fameux syndrome de la page blanche on dirait : je ne vois pas comment traduire ces quelques paragraphes du synopsis en un plan construit. Cela s’est pourtant fait tout seul pour le chapitre 1 qui n’était pas du tout prévu au départ, mais le cœur de l’intrigue par contre…


J’ai plus d’une explication à cela : tout d’abord, contrairement à ce que j’avais fait auparavant, notamment avec le tome 1, je dois poser toutes les bases. Parler d’un passé qui me semble lointain, mais qui n’est pas le cœur de l’intrigue. Aussi peut-être que ce ne sera que le premier tiers qui me posera autant de difficultés. Peut-être aussi que j’essaie de trop bien faire d’entrée de jeu, alors que je n’ai pas le talent ni l’expérience nécessaire pour cela, il me faudra sans doutes plusieurs itérations de tout le processus. Peut-être enfin que j’ai besoin des personnes qui comptent pour moi, que je n’ai moins l’occasion de voir ces derniers temps, contexte sanitaire oblige, cela doit jouer un peu quand je repense à «cet été» (oui je sais on est toujours en été).


La semaine prochaine je me dois de vous proposer un post intéressant plus riche en contenu. Mais je ne sais pas si je suis prêt à m’en tenir à mon idée initiale, assez osée et ambitieuse…

mardi 1 septembre 2020

[NO SPOIL] Une rentrée synonyme de reprise !

Modérons tout de suite les attentes, du fait du contexte exposé, cela reste une reprise timide. Mais la détermination est bien la ! La motivation suivra, et avec elle l’excitation de l’effusion d’idées et de l’inspiration en général.


Soyons plus concrets deux secondes. Dans des conditions matérielles que d’aucun jugerait déplorables (j’ai oublié mon ordinateur), je commence à travailler sur le plan après une dernière relecture du synopsis. Dommage, car sur les étapes précédentes, je n’ai aucun problème à tout faire depuis mon iPhone. Mais qui dit plan, dit manipulation d’un tableau et là c’est déjà moins idéal.


Et les fiches de personnages alors ? Comme expliqué précédemment, j’ai du mal avec cette étape 8, dont je n’ai toujours pas trouvé la pertinence dans ma méthode de travail. Et puis vu qu’il s’agit d’une saga et que je m’y étais frotté malgré tout pour le tome 1, c’est un peu comme si le travail était déjà fait (sauf pour Mélissa bien évidemment). Donc non pas d’étape 8 [pour le moment].


Pour revenir sur le plan, je vais dégrossir un peu l’histoire avant d’entrer dans les détails, comme je l’avais fait pour le tome précédent (enfin, « précédent »...je me comprends). Cette étape préliminaire passe en plus très bien sûr iPhone.


Donc à priori, j’aurais tout les jours de cette semaine voire du mois l’occasion de travailler un peu sur DCAA, quelque soit mon emploi du temps, malgré la semaine folle que je viens de commencer. 


Et le projet F dans tout ça ? Il n’est pas dit que je n’y consacre pas un peu de temps, poser certaines idées par écrit, même si elles me semble si claires et si puissante que je n’en ressent pas le besoin (mais ma mémoire et moi....).

lundi 31 août 2020

[NO SPOIL] Fin du mois difficile…

Si je n’ai pas posté depuis un moment, ce n’est pas parce qu’avec la fin du confinement je suis revenu «à la normale» (emploi du temps chargé et donc plus le temps d’écrire, ou simple démotivation). Du moins pas vraiment. 


Certes, je suis impressionné par mon nouvel emploi du temps professionnel, mais objectivement, il ne doit pas être très différent de ce que je faisais avant. Le problème est ailleurs : d’une part, j’étais en pleine révisions [plus que d’habitude] pour le boulot justement, mais je me suis lancé concomitamment sur un projet personnel ambitieux (mais matériel). Et j’avais oublié à quel point les considérations matérielles peuvent mobiliser mes précieuses ressources cognitives….


Pour terminer ici de me justifier, disons qu’il m’a fallu reconnaître un tort et une erreur de ma part, et ça a été difficile (j’ai retenu la leçon, sur un sujet où la documentation est aussi facile, je ne me fierais plus à mes impressions non informées !). Ça m’a demandé notamment un peu de documentation pour en prendre pleinement conscience, mais surtout l’accepter pour en tirer les conséquences. Et puis le fait que je n’aime pas faire les choses à moitié explique le reste. 


Ce qui fait que même lorsque j’avais un peu de temps devant moi, je préférais me replonger dans mes révisions (y compris une fois mon «examen» passé), plutôt que de travailler sur la saga. Bref, je n’avais pas la tête à écrire. Plus que de confirmer un retour à mes nouvelles habitudes, que j’espère très rapide maintenant que l’essentiel est fait, ce petit billet est là pour vous rendre compte de ce silence radio inquiétant pour celleux qui ont bien compris mon nouvel engagement à la reconstruction de DCAA…

lundi 3 août 2020

[Kanata Nash] Projet F :  Étape 1 ?

Si jamais je vais au delà de cette étape une, vous saurez que cela a commencé aujourd'hui.
« Quoi ? Tu es encore au début du travail sur une saga que tu penses déjà à la suite ???»
Je sais, ce n’est pas le plus pertinent aujourd’hui. Mais l’idée est précieuse, car rare. J’en ai connu (bien) moins d’une dizaine depuis 2004 et l’idée du projet DCAA, qui est par ailleurs une concrétisation d’idées plus anciennes, mais là n’est pas le sujet. Et le projet F  est d’autant plus important car il me semble, avec le peu de recul de l’heure* qui s’est écoulé depuis sa cristallisation (oui c’est très précis !), qu’il est du genre à tirer de l’inspiration «de mes tripes», ce que ne fait plus tout à fait DCAA. Je m’explique.

J’ai lancé DCAA il y a bientôt 16 ans, à une époque où j’étais lycéen, avec un tout autre contexte et en gros je ne suis plus tout à fait la même personne qui a eu l’idée. En plus, entre la longue coupure de mes études et de mes débuts dans ma nouvelle carrière professionnelle, j’ai plus que jamais l’impression d’«hériter» du projet. Un bel et riche héritage, je vous l’accorde. Mais si la partie Annecy me parle énormément, avec des jeunes adultes dans la vie active en protagonistes notamment, ce n’est plus tellement le cas de la partie «Clichy», et même dans la partie Annecy le contexte de la course automobile, dont je me sens de plus en plus éloigné, m’est moins naturel à approcher. 

C’est sans doute pour cela que j’ai tendance à me concentrer sur la dynamique des personnages, le contexte servant plus ou moins de prétexte. Un contexte que le nouveau moi n’a pas choisi et qui sert de cadre voire de limites. D’où ma tentative de réponse à la fameuse question «c’est quel type de roman ?» se rapprochant du roman psychologique. Si je doute encore que DCAA mérite ce qualificatif, la saga restant fondamentalement un polar/roman policier (je ne fais pas encore la distinction entre les deux), difficile de dire ce qu’il en est des tomes pris individuellement. En revanche, le projet F devrait prendre franchement cette orientation psychologique qui m’attire clairement. J’ai plein d’idées mais comme c’est encore l’euphorie de la découverte de l’idée, difficile de dire ce que ça vaut. 

Maintenant puisque la question est inévitable : pourquoi «projet F » ? Pour la même raison que le ««bar»» dans lequel devait se rencontrer les deux personnages principaux de la saga DCAA s’appelle le «Minidesk» : parce qu’il me fallait un nom provisoire, que ce ne serait pas génant si le nom est débile, tant qu’il me parle, et qu’inconsciemment j’ai du être inspiré par le nom «projet H» au moment où je me suis décidé. Bref. Ce nom renvoie à une série d'expériences de vie qui ont sans doute étaient déterminantes ces dernières semaines dernières (avec un crechendo sur les derniers jours) pour la cristallisation du projet F. Tout en étant un minimum « cryptique » pour des raisons qui m’importent (et n’importent pas qu’à moi). Rétroactivement, c’est aussi parce qu’il existe une «Fausse piste» évidente, mais tellement évidente qu’une poignée de personnes lisant ce billet serait prise de fou rire en comprenant de quoi il s’agit (il faudra que je sois plus transparent à ce sujet à l’avenir !). Dernière anecdote : il y a un écho aussi lointain qu’accidentel à une partie de l’intrigue du tome 0  de DCAA (Tout ce qui concerne Ernest pour ne pas le nommer) :    Il se trouve que dans le projet F il sera aussi question d’agents secrets. 

À nouveau, je ne suis qu’à 90 minutes* maintenant de cette cristallisation, et derrière cette modération apparente, je suis dans une euphorie si démesurée que difficilement communicable (je ne sais même pas si ce billet est compréhensible). Bien sûr, si ça ne fait pas «pschiit» je vous dirais ce qu’il en est, et pourquoi c’est si important, ainsi qu’en quoi le projet F m’est plus organique que DCAA et parle autant à mes tripes.

*Heure de rédaction, car fun fact, comme la plupart des bonne ou grandes idées/réalisations/décisions que j’ai ces dernièrs temps, j’ai eu cet Eureka sous la douche 😁

mardi 21 juillet 2020

[NO SPOIL] Le mystère Alana

Bon…spoil ou pas spoil pour celui-là ? Le billet que je m’apprête à publier dispose d’un potentiel de divulgachis jamais atteint sur ce blog. Je suis tenté de caviarder fortement mon propos [ce que j’ai fait finalement].

Outre sa passion pour le Drift, Alana dispose de capacités d’une curiosité, et d’une créativité étonnantes. Mais d’où tient-elle tout cela ?  Intervient donc l’argument de la cuisse de Jupiter : elle tient ça de son père* ! Bon, il y a une bonne justification derrière cela :  le père* d’Alana est journaliste d’investigation. Forcément, la curiosité et la créativité, ça le connait. Je dévoilerais sans doutes plus d’éléments à son sujet dans l’œuvre, même si ce n’était pas du tout prévu au départ. C’est donc tout naturellement qu’il a transmis cela à ses enfants, même si Alana s’est montrée plus réceptive que son frère à ce sujet. Disons que Sylvain a plutôt été animé par le désir de justice de son père. Je précise que je ne parle pas de leurs mère ici car ce n’est pas le sujet. Passons. 

Pourquoi vous parlai-je tout à coup d’Alana alors que je suis en train de travailler sur le tome 0 ?  Parce que, sans en dire plus (pour le moment ?) des éléments la concernant puisque concernant son père se jouent en fait pendant le tome 0, et je vais sans doute devoir les développer dans l’intrigue (au départ il n’était pas du tout question de les mentionner, car ils était un mystère sans importance, mais plus parce que ça m’arrangeait ainsi qu’autre chose). Aujourd’hui, j’ai décidé de mettre la lumière sur cette intrigue par ce que ça m’arrange mieux ainsi. Pourquoi ? Pour le même mot clé qui anime toute cette entreprise de réécriture de la saga : CO-HÉ-REN-CE ! L’œuvre sera plus cohérente ainsi. Tout est lié, rien n’arrive sans raison. 

Ces derniers jours vous avez gagné deux personnages [secondaires] : Caroline, la tante d’Ilizana, et «le père»* d’Alana (c’est à un point tel que je ne lui ai pas trouvé de prénom 😆). La suite logique, c’est que je fasse de même pour la mère*. D’autant plus logique car elle est tout autant concernée que le père* (et non, je ne pense pas ici à l’absence de prénom). Reste à trouver le lien logique…

lundi 20 juillet 2020

[NO SPOIL] Ernest :  session «découragement »

Aujourd’hui, pas mal de nouvelles idées, le tout pour mieux intégrer Ernest dans l’histoire, il devrait avoir encore plus de place dans ce tome 0  qu’envisagé initialement. Je vais notamment «justifier» sa présence en Italie et reprendre l’idée «farfelue» que j’avais eu autour de l’été 95 particulier de Léo...
Tout cela avec une conséquence concrète : réécrire toute la présentation d’Ernest, car ce que je lui avais accordé ne couvre que le début de sa nouvelle histoire. Et aujourd’hui, j’avais beaucoup de temps, mais pas du tout la motivation de le faire. Je me voyais trop avancer dans le synopsis. Donc autant revenir en arrière.

Mais pourtant, écrire, c’est aussi ça, je ne dois pas l’oublier. Peut-être que je dois remettre cela à demain, car cette fois je serais mentalement préparé.
Un détail encourageant : à ce stade, Caroline n’a pas besoin d’une place dans la méthode Kanata Nash, à la limite une fiche personnage, mais c’est tout. Elle remplace belle et bien Ernest dans le cœur de l’intrigue (là où il ne faisait justement rien, scénaristiquement parlant).

vendredi 17 juillet 2020

[NO SPOIL] Après les morts (disparitions), les résurrections de personnages !

Tout a commencé avec la délicate question de la documentation : sachant le travail que cela représente, je ne cherche pas à faire une œuvre historique ni 100% fidèle. Mais je ne veut pas choquer de potentiels lecteurs spécialistes d'un sujet par mon inculture affichée par ma manière de dépeindre certaines choses, même si c'est de l'ordre du détail. Donc je suis mitigé face à cette question. J'ai vraiment besoin d'écrire, d'avoir au moins une idée de ce à quoi va ressembler la saga, mais je sais que si je dois passer par la case documentation j'en ai pour des mois avant d'attaquer le premier jet voire même les plans qui seraient à reprendre...

Comme je le disais, je vais faire un «premier jet», avec autant de documentation en parallèle que possible sans que ce ne soit une priorité, et je n'attaquerais une réécriture de l'ensemble de la saga qu'une fois que je serais satisfait du niveau de connaissance que j'aurais acquis sur les thèmes qui me pose problème. Petit détail au passage, par documentation, il ne faut pas m'imaginer faire le tour des bibliothèques spécialisées en train de rechercher des ouvrages rares et me taper des essais sur de la géopolitique ou tout autre domaine pointu. Non, je tiens à faire avec les moyens du bords. Je vais rarement plus loin que Wikipédia, mais j'ai aussi la chance d'avoir des consultantes et des consultants hors pairs dans mon entourage (bises à elleux, j'espère rendre honneur à la mine d'informations que vous m'avez déjà apportée !). Ça peut aussi passer par la lecture de romans, mais aussi par le visionnage de films, de séries, et même de vidéos YouTube !

Trèves de digression. Ayant besoin de parler du quotidien d'Ernest de manière cruciale dans le tome 0, vu le rôle que je lui donne vis à vis de la bande d'amis, j'ai eu besoin de commencer dès maintenant à regarder Le Bureau des Légendes, avant même de finir l'écriture du synopsis (je me rends compte d'ailleurs que cela aurait été idéal bien, bien avant d'attaquer la mise en place du plan). J'ai appris et/ou compris des choses importantes dès le premier épisode : mon Ernest est trop «exposé». Je vais devoir le réécrire complètement. Qu'à cela ne tiennent, j'avais un problème de taille : je ne savais pas trop comment écrire sa femme, dont le sort sera déterminant dans le tome 2 (ou pas ?). Et bien je vais pouvoir faire d'une pierre deux coups ! Ernest devrait se cantonner à son rôle professionnel tandis que Caroline assurera le rôle de la tante salvatrice et de lien entre Ies protagonistes. Alors oui, pour faire un pied de nez à l'inégalité homme-femme, j'aurais aimé que ce soit Caroline qui ait le rôle le plus cool pour l'intrigue, mais ma série de référence sur le milieu de la DGSI par déléguation confirme ce que je peux imaginer de ce que serait la DGSE dans les années 90, ce serait peu crédible car peu probable d'avoir une résponsable aussi haut placée dans les services secrets dans cet univers beaucoup trop masculin. Après je me trompe peut-être, mais j'ai bien d'autres opportunités de défaire cette inégalité homme-femme (Et non, ça ne se limite pas à Alana...).

Maintenant abordons un détails anecdotique mais pas totalement inintéressant : pourquoi je parle de résurrection ? Car Caroline, comme je l'ai redécouvert, c'était déjà un personnage de mon univers DCAA. Mais d'une époque du projet dont j'ai tellement honte que je n'avais envie que d'une chose : réécrire au plus vite une nouvelle version du projet pour pouvoir supprimer définitivement ces premiers textes. Hors, aussi désastreux qu'ils soient, ces textes sources sont pleins de bonnes idées (et de mauvaises aussi mais le tri est facile), et cette Caroline, qui est partiellement réincarnée en Alana, en faisait partie (avez-vous lu mes premiers billets qui parlent de fusions de personnages ?). Bon, maintenant, j'aimerais beaucoup vous faire une présentation de ma Caroline originale, mais cela me demanderait un peu de recherches (oui, car ma mémoire n'est plus toute fraiche, et quand on y pense, ça fait une bonne dizaine d'années que j'ai enterré ce personnage !), et l'article est déjà bien trop long par rapport à ce que j'avais imaginé. Mais ce sera pour une prochaine fois, en espérant qu'il n'y a pas de peut-être qui tienne.

Donc retour au synopsis, j'y intègre Caroline comme je peu mais c'est surtout dans l'étape 9 que son intégration sera le plus important. Et il faut que je me dégage du temps pour continuer à regarder Le Bureau des Légendes. Et je profite de ce billet pour souhaiter une bonne fêtes à toutes les Caroline qui me lisent !

jeudi 2 juillet 2020

[SPOIL ?] Non, Léo n’ira pas aux États-Unis !

Bon, faut que j’explique, mais tout d’abord, comme j’ai abandonné l’idée de balises [SPOIL]/[NO SPOIL] dans le titre de mes différents billets, considérez qu’en l’absence de ces dernières, le billet va divulgacher à fond. Donc à votre avis, est-ce que cela sera le cas de ce billet ?

Léo était censé être « promis » aux États-Unis. J’appuie sur le terme « promis » car j’avais littéralement imaginé une cérémonie de mariage symbolique avec la discipline dans laquelle il s’était engagé (« engagé » est bien le terme consacré cette fois-ci). Par « symbolique », j’entends une cérémonie bien réelle, mais bien sûr avec la patine surréaliste que j’avais imaginé pour l’ensemble de l’œuvre...Ah voilà un sujet que je n’ai pas abordé, ce sera pour une prochaine fois. À son arrivée dans certains voient comme sa belle famille (la famille de Mélissa)(je ne vous en veux pas, le texte était orienté pour ça), Léo doit donc se marier à cette dernière (la famille, pas Mélissa), avant de pouvoir courir à ses couleurs. Et donc pour le jour J était prévu la location d’une immense salle, la commande d’un buffet monstre avec même un gâteau...le tout à l’image de la démesure américaine bien entendu.

Sauf que...déjà, je ne suis pas fan des compétitions se tenant au pays de l’oncle Sam. Oui, je l’avoue !!! J’avais inventé une compétition fictive pour arranger un peu les choses. Mais les États-Unis, c’est aussi ce pays qui compte en miles par heure, en pieds et en pouces compter leur délires sur leur format de date, d’heure (et j’oubliais même les Farhenheit). Autant dire qu’il aurait été moins dépaysé dans un pays comme le Japon (ha ha très drôle) ! 

Mais les États-Unis, c’est aussi un pays ou tout le monde ou presque est armé, qui ont parmi les plus puissantes organisations religion-sectaires du monde, et puis entre temps (j’avais imaginé cela il y a des années...), ils ont eu Trump. Donc clairement, aujourd’hui je me pose la question de comment j’ai eu l’idée des États-Unis en premier lieu. Oui, je voulais montrer cette démesure (en bien même !), ce côté où les rêves deviennent réalité (ou pas...), mais ce pays ou Léo ne serait pas forcément senti à l’aise, bref, c’était quand même le pays idéal quelque part.

Puis il y a eu Black Lives Matter. Un puissant rappel des réalités que je savais déjà, qu’il m’est désormais impossible de mettre sous le tapis. Au delà des violences policières envers les minorités ethniques, la revisite du passé récent des États-Unis notoirement raciste, ce manque de considération institutionnelle pour leurs populations pauvres (bien illustré par leur système de santé notamment), le poids de la religion (oh là là il y a de quoi dire sur le sujet !), tout cela m’a montré à quel point ce n’était pas possible. Ça ne colle pas avec ce que je veux présenter dans mon œuvre. Notons au passage qu’à aucun moment je n’ai mis en cause leur sytème ferroviaire désastreux.

Alors lorsqu’ai commencé la méthode Kanata Nash, j’ai envisagé le Canada comme solution de repli. Pour la faire courte je n’ai pas trouvé de compétition à laquelle Léo était susceptible de prendre part, et dans une perpective réaliste toujours, je ne me voyais pas d’en inventer une, elle aurait été trop différente de ce qu’il s’y fait déjà. Retour ou plutôt poursuite en Asie ? Bon déjà que j’ai gardé l’idée d’une compétition de rallye/cross en Asie du Sud-Est, organisée par des Sud-coréens, ajouter autre chose par dessus aurait été de trop. L’Australie alors ? Le V8 américain est tellement, tellement cool…Mais pas assez crédible. Les antécédents de Léo sont trop juste pour justifier une place en V8 Supercar. Entre ça, le décalage culturel, la distance (là on est carrément aux antipodes)… J’ai préféré l’Europe, même si à l’heure où j’écris ces lignes un retour à l’Australie me parait plus envisageable qu’initialement. 

L’Europe donc. Oui, mais dans quel pays ? L’Allemagne, ce n’était pas possible pour un élément que j’ai oublié de reporter : Léo ne pourrait plus retourner dans ce pays par le traumatisme du drame qu’il y vivra (c’est pour ça que les États-Unis c’était génial en fait, en plus l’idée du Pasteur fou dans le rôle du meurtrier était parfaite)(donc vous aurez compris qu’il retournera en Allemagne par la suite !). Bon j’arrête là le suspens : j’ai choisi l’Italie. Sans être au niveau du Royaume-Uni (une légende…donc une punition trop importante pour Léo), l’Italie a une culture de la course automobile suffisante pour que l’oncle (et non plus les parents finalement) de Mélissa y soit implanté. C’est aussi plus pratique pour y trouver un remplaçant du pasteur fou =) 


Léo n’ira pas aux États-Unis, donc. Pas de traversée de l’Altantique pour lui, juste une traversée des Alpes. 

mercredi 1 juillet 2020

[NO SPOIL] Un prologue inévitable…

Alors que je commence à décrire en détail la rencontre des protagoniste (en particulier une nouvelle version de la rencontre entre Léo et Sylvain, plus tardive qu’imaginé initialement), je réalise que tout ça prend beaucoup de place dans le chapitre en question, et pourtant, je me force à ne pas développer…

Cela s’impose comme une évidence. Je dois raconter ce qui s’est passé avant, impossible de passer tout cela sous silence vu tout ce qui s’est passé. Car mine de rien, il y en avait des éléments de dramaturgie, Léo a touché du doigt une carrière de pilote professionnel tout de même ! Entre ça, et évidemment en dire plus sur Mélissa, qui autrement aurait été «cette personne mystérieuse dont parle souvent les protagonistes», l’idée du tome précédent la partie «Annecy» telle que je l’avais envisagée faisait sens. 

Après, la question du «pourquoi maintenant». C’est vrai, il n’y avait pas le feu au lac, j’aurais pu commencer à travailler dessus une fois ma première version du tome 1 terminée…Mais il me semblait - pour une fois - important de travailler de manière chronologique. Ne serait-ce que pour établir un plan avant de poursuivre le tome 1. Reste qu’à l’heure actuelle ce n’est pas encore sûr que je rédige ce que l’on va désormais appeler le tome 0 avant le tome 1 que je viens de commencer. On verra ou j’en serais à ce moment là.

Un mot sur les contraintes de l’histoire revisitée. J’ai deux niveaux de contraintes : l’organisation et le message symbolique. L’organisation tout d’abord : l’histoire de Léo est certes intéressante, mais impossible de ne pas dire un mot dessus sur ce tome, quand on sait que son rôle ne devient crucial que dans le troisième tome (tome 2) ! Il faut donc que je donne des indices de ce qu’il se passe, et que je trouve un moyen de liée cela à ce qui arrive aux protagonistes (à l’heure où j’écris ces lignes j’ai trouvé). Le symbolisme ensuite : l’histoire est truffée de référénces et hommages cachés, qui sont particulièrement prégnants dans ce tome 0. Et bon sang comme j’ai du m’arracher les cheveux pour que ça tienne (avant ça tenait naturellement, mais le scénario était à la fois moins crédible et moins solide). Donc si vous trouvez le scénario un peu capitalotracté (c’est fort possible), dites-vous que c’était pire avant. Pour tout vous dire, j’aurais tellement aimé que l’année scolaire 1997-1998 n’existe pas, et qu’on passe directement de juin 97 à juillet 98. C’est impossible alors on va faire avec.

Maintenant porlons de l’élaboration du plan, à la «Kanata Nash». Autant je savais ce que je devais faire (plus besoin de retourner aux explications de mon maître, autant réarticuler l’histoire dans une démarche et dramaturgie, en recherchant cohérence et consistance, ça n’a pas été facile. Cette fois-ci je me suis forcé à rédiger des résumés différents pour Léo et pour l’intrigue principal, mais ça n’a pas été facile et je ne sais même pas si ce sera très utile. Je m’en doutais un peu vu comme je l’avais imaginé au départ, mais l’histoire est vraiment centrée autour de Léo. J’ai tenté un décentrement partiel avec l’intrigue d’Ernest se déroulant en parallèle, mais je ne sais pas si ce sera très réussi. Malgré tout, cela était plus rapide (ou pas ?) que pour les autres tomes ! Je suis arrivé au bout de l’étape 6 en une quinzaine de jours. En ce moment donc c’est le gros morceau de l’étape 7 qui m’attend, je ne sais pas quoi faire de l’étape 8, mais l’étape 9 promet être du même acabit que pour le tome 1, une construction en parallèle du premier jet.

C’est tout pour moi pour le moment, prochain billet pour le début du premier jet, quoique j’ai deux trois trucs à raconter sur les changements que j’ai du opérer dans ce tome 0 qui revisite les débuts de Léo.

mercredi 17 juin 2020

[NO SPOIL] Il y a 4 ans, j’en rêvais...aujourd’hui, je le fais !

Quatre ans, c’était il y a longtemps, donc je ne pourrais pas vous donner le pourquoi du comment, mais je me suis dit un jour qu’il serait intéressant de ne pas garder le même narrateur tout le long de la saga. 

En fait (grosse révélation), je n’aimais pas l’idée de centrer l’histoire sur deux protagonistes directement inspiré de ma personne (malgré mes tentatives désespéré de les faire le plus différents possible de moi, ce qui s’est conclut par un échec des plus comiques que je vous raconterai une autre fois). Or, à l’époque où j’ai eu l’idée, Alana était un personnage qui prenait beaucoup d’importance, et la saga ressemblait à une « trilogie ++ ». Donc un tome pour Léo, un pour Atalan (évidemment)...et un pour Alana !

Avec le remaniement opéré en avril dernier (oui car pendant quasiment trois ans je n’ai pas pu bosser sur la saga), l’idée perdure malgré un remaniement complet de la série de livres à venir (5 tomes désormais pour l’arc principal !), il est alors question de donner à chaque protagoniste un tome (plus ou moins)

Alana dans Pilotage Passion…et dans le reste de la saga

La cohérence voudrait que Sylvain soit le narrateur de Pilotage Passion. Sauf que dans la mise en place du nouveau plan, il m’a paru important de donner ce premier tome à Alana, quitte à reléguer le personnage central de l’intrigue au second plan…oui oui, vous l’avez deviné, Léo, encore et toujours. Vous souvenez-vous du tableau tout moche d’il y a quatre ans ? Voici sa mise à jour ! 


À  savoir qu’il n’est pas définitif, je travaille sur une autre version en parallèle. Sylvain n’aura donc jamais la vedette, il le fallait pour avoir un semblant d’équilibre entre Léo et Alana, mais aussi parce qu’Alana ne pouvait pas être au cœur des intrigues des tomes 2 et 3 (énorme divulgâchis sinon). À l’image de Sylvain qui est la vraie vedette du premier tome, Alana l’est en fait sur le reste de la série, mais dans un rôle de l’ombre, et je trouvais cela intéressant de le souligner en la suivant dans le premier tome. 

lundi 1 juin 2020

[NO SPOIL] Étape 10  : c’est parti !

Ça y est, j’attaque la première page de la version revisitée de la saga, pour la première fois, j’attaque un travail qui sera exploitable, que je n’aurais pas peur (ou honte) de montrer, de la première à la dernière ligne. J’aime l’idée que toute l’œuvre sera cohérente, que je n’aurais pas à chercher comment rattacher un texte à l’histoire, devoir justifier un passage, etc. 

Pour ces premières lignes, il est donc question d’Alana au Japon, j’en dirais peut-être plus dans un résumé à venir. 

Visiblement, en ce jour à marquer d’une pierre blanche pour le projet DCAA, je suis plus inspiré pour l’histoire elle-même que pour un billet de blog célébrant cette étape. Sur ce, retour au texte !

mardi 26 mai 2020

[NO SPOIL] Étape 9 : le déclic...

Après des débuts compliqués, j’avance en fin dans le plan ! Tout est tellement fluide désormais que je sens que je pourrais presque le finir aujourd’hui. Seulement, cela reste long et fastidieux, et à mon rythme on ne peut parler véritablement que d’une ébauche et non d’un plan abouti.

Aujourd’hui j’ai pu débloquer la chronologie des premiers événements, mais je ne suis pas satisfait de la fin que j’ai prévue à l’œuvre : elle a un petit côté « capilotracté » à cause des reliquats du Minidesk, je ne sais toujours pas s’il mérite ce shift (mais faire l’impasse dessus revient à renoncer à pas mal d’éléments...).

Plus raisonnablement, on va viser la fin de la semaine pour la fin du plan et début juin pour le « premier » jet (l’étape 10 !)....

jeudi 21 mai 2020

[NO SPOIL] Étapes 8  et 9   :  mes bêtes noires ?

Quand je me suis dit «Bon, ça y est, je vais passer à l’étape 9 !», quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que j’avais bien fait un plan en bonne et due forme pour LCDV:JA !
Un plan «light» certes, car pas complet, car certaines colonnes sont vides ou quasi-vides, mais l’essentiel y est, et il est plutôt bien détaillé !

Entre les recherches pour enrichir le background de mes protagonistes, le fait que j’ai bien utilisé un plan pour mon nouveau LCDV:JA, et le plan à établir pour une partie «Annecy» complètement revisitée, je prends pleinement conscience du travail qui m’attend, à côté de ça les étapes 2 à 7, c’était vraiment de la rigolade 😳

Allez, au boulot ! 

mercredi 20 mai 2020

[NO SPOIL] Cet OVNI qu'est l'étape 8...

Je suis déboussolé. Jusqu'à présent, je savais comment faire un résumé, ou des fiches sur les protagonistes, pour aboutir au synopsis, là, je réalise que je suis perdu. Pour être sincère, j'ai l'impression que l'étape 8 ne me sert à rien. Je connais bien mes personnages depuis le temps que je les ai mis en place, mais je n'arrive pas à trouver le format d'une fiche de personnages qui serait à la fois exhaustif et utile. Or, autant il n'y a qu'une seule façon de faire les étapes 2 à 7, autant pour la 8 (voire la 9), c'est «Freestyle» et ça me déboussole un peu.

Mais on parle pourtant de méthode ! J'ai déjà des versions en chantier de la saga, que j'avais établies sans cette méthode. Je ne peux que constater le résultat. Des bonnes idées...inexploitables. La méthode m'a permis d'envisager quelque chose de sérieux pour DCAA. Est-ce qu'à l'image de LCDV:JA, j'ai exploité tout ce qu'il y avait de bon pour moi, et que je peux me passer de cette étape ? Où est-ce qu'il s'agit là de ma première rébellion contre la méthode, et que je dois me forcer pour obtenir le meilleur résultat possible et imaginable ? Est-ce que c'est une voie sans issue, ou est-ce qu'à l'image du blocage ayant résulté à la subdivision de la partie «Annecy», la solution débouchera sur quelque chose d'incroyable pour l'ensemble de l'œuvre ?

Une chose est sûre, c'est qu'avec le rythme que j'avais, je suis très frustré de ne plus noircir mes supports de travail. Aujourd'hui, ma forme la plus productive est de rester assis (voire allongé, le soir), à ne rien faire, tout juste pouvoir écouter de la musique. Quand ça se passe bien comme hier, ça débouche sur des recherches pour documenter certains point. Mais là c'est plus ajouter à la frustration, car je prends conscience de toutes les belles choses que j'aurais à raconter.

Il y a notamment un point qui me pose problème, le «background» des personnages. J'aime bien l'idée de l'adapter en fonction de ce que j'écris. Or «figer» tout ça avant même d'écrire la premier ligne, ça me gène à plus d'un titre : pas de matière pour le faire, et crainte de devoir faire du concordisme par la suite. Une belle illustration de cela, ce sont les parents des Elian : je sais qu'ils sont aisées, l'un d'eux est journaliste ou «d'une profession avoisinante (je me comprends)», mais je ne sais pas encore lequel (et j'en sais encore moins pour l'autre), je ne peux pas en dire plus pour le moment car ça ne me servira pas tant que je ne serais pas dans le tome 2 au moins (voire même le tome 4 !!). 

Ce que j'envisage à l'heure actuelle, c'est de laisser l'étape 8 en chantier, et de la compléter au besoin lors de l'élaboration du plan (voire pendant le premier jet ??).

lundi 18 mai 2020

Plot-twist  : le retour du concert du minidesk

Lorsque vous lirez le passage concernant ce concert, vous serez loin de vous doutez de tous les changements, mais aussi les changements qui ont entrainé des non-changements (c’est à dire le contexte du concert qui se «répète»[No Spoil]…bon au moins je me comprends) derrière ce que vous lisez. Au moins vous comprendrez une chose : le premier concert aurait du avoir lieu dans un lieu qui s’appelez provisoirement «Minidesk» (et qui selon mes premiers écrits, que j’ai relu pour l’occasion, devaient ressembler à un saloon façon western).

Je butte depuis plusieurs jours sur une fin non équilibrée. Les saisons respectives de Léo et d’Alana (partez du principe qu’ils assurent tous deux une saison de compétition automobile pour les besoins de ce billet) ne collaient pas (au contexte notamment). Qu’ai-je fait face à ce blocage ?  Un retour aux sources en bon et due forme (je vous expliquerais sans doute un jour pourquoi c’est important). C’est ainsi, avec un hasard de Playlist au même moment, que j’ai compris que non seulement le concert du Minidesk pouvait être sauvé, mais devait l’être. J’ai donc une raison valable pour mettre Léo à la musique et le faire prendre part à ce concert. 

Bon, avec ça je peux finir le synopsis, avec notamment une chronologie revisitée, mais je dois reprendre complètement le dernier paragraphe de l’étape 5  voire les fin des étapes précédentes….

samedi 16 mai 2020

Auto révélation : ce n’est pas du policier ni de la SF ce que j’écris...

Si le cœur de l’intrigue est comparable à du policier, cela est loin de définir l’œuvre dans son ensemble, le synopsis est édifiant à ce sujet...

Après un fort soupçon dans ce sens, et au biais de confirmation près (j’ai vérifié d’autres genres mais pas tous, loin de la), il semblerait qu’Annecy, voire toute la saga De Clichy À Annecy, soit une fiction psychologique. En effet, ce manque d’action que je décriais entre les lignes précédemment n’est pas un problème, car l’enjeu est ailleurs. « Annecy 1 » vous raconte comment le groupe d’amis de la saga s’est formé, avec leurs parcours, leurs choix, leurs motivations...

Alors oui, il s’agit du synopsis du tome 1, et oui je songe y inclure des éléments du tome 0. Mais cela reste édifiant ! Autant l’enquête commencera vraiment dans le tome suivant avec les événements qui vont la déclencher bien évidement, mais cette dimension psychologique, c’est aussi ce qui fait la force du tome LCDV:JA. Et je pense qu’il y aura un bon équilibre des deux dans la partie « Clichy ».

Bref, cette réalisation me fascine, donc je voulais écrire un mot à ce sujet. La prochaine fois que vous me poserai la question « c’est quel genre ? », je serais encore plus précis ;-)

EDIT du 27/07/2020 : suite à cette réalisation, vous vous doutez bien que j'ai essayé de vérifier mon propos...en lisant mon premier (d'une longue série, je l'espère) roman psychologie hors lectures scolaires, j'ai nommé Du côté de Chez Swann, de Proust. Et bien pour l'instant, partez du principe que ce n'est pas forcément le cas (ou que le style particulier de Proust me permet d'en douter). Si la lecture de ce monument littéraire n'est pas des plus aisées pour le non-littéraire que je suis, je n'en suis pas mal dévoré de curiosité envers les grands classique que j'ai boudé jusqu'à présent, donc si je trouve le temps je mettrais à jour ce billet !

jeudi 14 mai 2020

Étape 7  :  le Minidesk menacé ?

Pour rappel, le Minidesk (nom de travail ridicule mais trouvé en quelques secondes) est un club ou un bar, ou un peu des deux, dans lequel devait se produire un mini-concert, le premier d’une petite série...Oui, il y a un bien un lien avec l’intrigue principal, mais je souhaite divulgacher le moins possible sur ce billet. Je suis gêné par le morceau qui devait se jouer au Minidesk en cette fin  98/début 99. Je souhaitais m’accorder cet anachronisme en le justifiant dans l’intrigue, mais 2 ans, ça fait vraiment trop pour le groupe auteur de cette chanson. Or sans ce morceau, difficile de justifier tout le concert, voire l’idée même du Minidesk...

Premier blocage à l’entame du synopsis, il me faut retravailler la rencontre entre Alana et Léo (qui avait déjà sacrément pris un coup dans cette nouvelle version d’«Annecy» !). C’est sur ce point que je bloque actuellement, mais je vais peut-être passer outre pour y revenir plus tard.

dimanche 10 mai 2020

«Annecy» et Kanata Nash  :  fin de l’étape 6, on se rapproche du vif du sujet !

Tout d’abord pour les curieux, oui, j’ai repris l’étape 5 pour coller au format de 500-600  mots que je m’impose pour les synopsis de l’étape 6. Mais surtout je suis très satisfait de ce nouveau résumé qui est plus précis et plus juste, notamment en terme de chronologie. Donc oui, il m’a beaucoup servi aujourd'hui.

Si vous vous souvenez, pour LCDV:JA, j’étais passé de l’étape 7  au premier jet. Pas question de faire cela cette fois : pas «d’urgence» à avoir des premiers retours, mais surtout les fiches élaborées des personnages seront très importantes car elles me serviront pour les 4 tomes à venir. Et je pense que le plan détaillé «scène par scène» ne sera pas de trop cette fois, vu le peu d’éléments que je garde par rapport à la version précédente de l’histoire. Au final, même sans cette étape 9, j’aurais réussi à contourner les problèmes de la Formule France et de la première vague d’émeutes*, vous n’imaginez pas à quel point je suis content 😃 

Par contre, faudra qu’on reparle d’un truc ou deux d’ici là...

*En fait, je m’avance un peu, mais je serais à 100% fixé sur ce point qu’à l’étape 9, bien évidemment (là je ne le suis qu’à 90%).

vendredi 8 mai 2020

«Annecy» et Kanata Nash : étape 5 mal faite, mais étape 6 réussie pour Sylvain

Après une journée «cauchemardesque» hier (tout est relatif en période de confinement =), j’ai pu reprendre aujourd'hui le travail sur le plan...et constater à quel point je me suis perdu en détails dans l’étape 5. À priori je dois viser 500  mots pour le synopsis de l’étape 6...mais c’est aussi une bonne cible pour l’étape 5 ! Or, en l’état, j’ai le triple (plus de 1400  mots). C’est peut-être pour cela que j’y ai passé beaucoup de temps. J’en prends note pour les prochaines fois, et j’ai trop hâte d’arriver à l’étape 8 (fiche des personnages, qui seront valables sur l’ensemble de l’arc !!),  en espérant que l’étape 7  me sera facilitée (c’est presque comme si je l’avais déjà faite, non ?)...Ou peut-être faudra-t-il reprendre l’étape 5 (pour l’instant je garde, c’est pratique pour mes synopsis).

Pour l’instant, c’est l’étape 6 donc. J’ai fini le synopsis de Sylvain, l’occasion d’étouffer, voir de corriger le résumé de l’étape 4, qui manquait cruellement de détails. Je confirme que cette approche (foncer sans se perdre en détails quitte à revenir dessus) est la bonne, c’est beaucoup plus facile et surtout plus fluide. Encore 4  synopsis pour améliorer l’ensemble du plan !

mardi 5 mai 2020

«Annecy» et Kanata Nash : on commence doucement l’étape 5 !

Qui dit étape 5, dit «choses sérieuses», l’investissement temporel et cognitif devient plus important. La bonne nouvelle, c’est que ça a l’air de fonctionner aussi bien que pour mon premier «remake», LCDV:JA. Car c’est souvent à ce niveau que l’on voit si ça passe ou ça casse (voir mes déboires du mois d’avril). Pour autant je suis plus organisé, à l’aide d’outils que j’ai mis en place dans Notes (oui, j’utilise Notes pour mettre en place mon plan, Scrivener n’a pas la souplesse nécessaire à mes besoins...), signe que la partie Annecy reste plus complexe (plus de protagonistes pour commencer, et je dois jeter les bases de toute la saga !). 

Comme je le disais, à partir de maintenant, je mène le premier tome «Annecy» jusqu’au [nouveau] premier jet, je reprendrais les suivant avec le même principe (de l’étape 5 jusqu’au [nouveau] premier jet), en espérant que cela me donnera plus d’éléments pour le tome 4, partie de l’intrigue sur laquelle j’avais le moins de matière (et pour laquelle je n’ai pas fait l’étape 4 justement).

Voilà où j’en suis aujourd'hui !  Impossible d’avancer un planning, avec la reprise qui s’annonce notamment, mais j’espère venir à bout de ce changement de braquet pour admirer la concrétisation de la saga toute entière !!

samedi 25 avril 2020

Kanata Nash ?  C’est qui ?   C’est quoi ?

Article dédié aux nouveaux arrivants ! 

Je parle souvent de [méthode] Kanata Nash, d’étapes numérotées, sans forcément préciser de quoi je parle. c’est normal, je l’ai déjà fait par le passé....

Voici donc une lecture qui servira aux nouveaux arrivants tout comme à mes collègues aspirants romanciers. Attention l’article en lien parle bien de la méthode à appliquer pour un roman de fiction. Si vous recherchez l’article en passant par votre moteur de recherche favori, il y a de fortes chances que vous tombez sur la méthode pour écrire un scénario, plus récent, et donc apparaissant en premier sur le site.  Je ne vous cacherais pas qu’il y a des ressemblances, mais quitte à avoir les deux sous la mains, autant prendre le plus pertinent !

C’est sans autres fioritures que je retourne à l’étape 4 d’Annecy 1, à moins que je ne ne fasse les étapes 2 et 3  de tout Annecy pour ne pas avoir à me répéter à l’étape 4 ?

vendredi 24 avril 2020

Annecy : une chronologie impossible…en l’état.

Après une semaine de travail sur le sujet je peux vous dire que oui, l’idée de découper «Annecy» en deux parties était la bonne. Par contre, ce n’était pas suffisant pour débloquer la situation.

Actuellement, trois choses me posent problème dans la partie «Annecy» :
-La saison de Formule France (1999)
-Les émeutes (celles de l’année 2000 et celles ayant lieu en 2001)
-La saison de Best Motoring (2002)

Pour les saisons de compétition automobile, [SPOILERS] contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas le cœur de l’intrigue, comme l’univers des jeux vidéos dans Mythic Quest. Je voulais éluder ces passages pour ne pas faire du remplissage. «Commençons l’histoire plus tard en recourant à des Flash Back» me suis-je dit. Non seulement je réalisais que je serais amené à «Flashbaker» des blocs entiers «pré-émeutes», mais, de toutes façons, l’histoire devant se construire autour de ces éléments, j’ajoutais de la complexité à des esquives à l’efficacité partielle.

Qu’ai-je décidé de faire à votre avis ? Ressortir les ciseaux magiques ! Mais une fois de plus, pour préserver l’unité d’action, pas tellement pour faire des coupes anti-remplissage. Sauf que c’est bien là l’un des effets secondaires positifs de ce nouveau découpage, intervenant entre la course de gala fin 2000 et l’année 2001 (et ses émeutes). Les émeutes servent désormais de contexte et non de décors où se déroule l’action, plus besoin de m’y appesantir. Effet kiss-cool sympa : j’ai retrouvé la possibilité de faire mon jeu de changement de narrateur entre chaque tome, ça devait vous plaire (si ce n’est pas trop déboussolant ?) !

Hé ! Avez-vous remarqué ce que cela signifie sur la structure de l’œuvre ? Nous nous retrouvons avec une nouvelle trilogie, pour la partie «Annecy». Voici ce que cela donne avec des titres de travail :
-Annecy 1
-Annecy 2
-Annecy 3
-Clichy
-Le Couple des Vacances : Juillet et Août
-De Clichy À Annecy

À cela s’ajouterait «Envoyé Spécial» et peut-être, si tout se passe bien et que j’ai le temps, un tome traitant des événements ayant mené à «Annecy 1».

lundi 20 avril 2020

DCAA (Tome 1 ) :  Et si...

Toujours bloqué à l’étape 5 en travaillant à plein temps sur le projet ? Il y a bel et bien un problème...Comme vous vous en doutez, si je vous propose un billet de blog, c’est que je tiens la solution.

Après avoir mis la faute sur mon potentiel manque d’inspiration, que j’attribue au contexte actuel de pandémie, j’ai petit à petit rejeté la faute à la fois sur l’œuvre (trop complexe) et sur moi (trop ambitieux ?). Bref, si le dégoût n’avait pas primé, ce sont deux billets de blog que j’aurais pu rédiger pour chacun de ces points. 

Mais j’espère que vous n’aurez pas à attendre de moi ces deux billets. Car j’aimerais mettre à l’épreuve une autre hypothèse : et si ce n’était pas la bonne approche ? En effet cette semaine j’ai essayé d’articuler deux des intrigues, pourtant [plus ou moins] successives, en prenant en compte les sous-intrigues et les intrigues parallèles (non non, ce ne sont pas des mots sans importance, pour gonfler le texte et donner une apparence de complexité, c’est vraiment ce qu’implique mon travail actuel !). Je n’arrivais pas à tout prendre en compte en même temps. Je ne peux travailler que sur mon Mac principal, car l’écran est plein de fenêtres d’éléments de travail que je dois avoir sous les yeux ou à portée de clic pour gérer tout ça. J’ai pris conscience que la complexité du projet m’obligerait à réaliser deux méthodes Kanata Nash successives, la première me servant de base de travail pour la seconde, car impossible de tout bien mettre en place du premier coup. Et j’avais mal au crâne à l’idée du boulot que ça sous-entendait. Alors, il y a quelques minutes, je me suis dit «stop, je ne peux pas continuer comme ça. Je dois changer quelque chose». Et plus les minutes passent, plus c’est l’évidence même, il faut que je procède autrement.

Mais quel est donc cette solution qu’il m’aura fallu des jours à trouver ?   Elle a beau être simple, c’est qu’elle remet en question pas mal de choses. Simple ?  Car mon problème, résumé en une phrase, c’est que j’essaie d’articuler plusieurs intrigues principales à la fois. Or j’ai déjà découpé l’œuvre originale, «De Clichy À Annecy», initialement en deux intrigues séparées pour remédier à ce problème. Une fois de plus, c’est la même solution que je dois appliquer à ce premier tome : «Annecy» (titre de travail), ou «Pilotage Passion» (proposition de titre définitif).

Et je n’ai pas d’excuse !  L a scène qui se déroule dans l’avion, de retour du Japon est une parfaite scène de fin pour la première partie, et la visite médicale de Léo une belle et amusante entrée en matière pour la partie deux. De plus, pour commencer l’étape 5, j’ai du séparer ce qui concerne un ou un des protagonistes de ce qui concerne l’association Pilotage Passion, pour des raisons de complexité, quitte à nuire à la chronologie. Et l’étape 5 est un bazar sans nom car je me bats à ramener tous les développements à cette unité d’action qui n’en est pas, à cause de cet avant et après japon. Enfonçons le clou en rappelant que la partie Annecy devait se dérouler sur six ans (contre un peu plus d’un an pour la partie Clichy, et deux mois pour Le Couple des Vacances : Juillet et Août - comme son nom l’indique). On ferait donc un gain appréciable pour la chronologie, en passant à  quatre ans pour la partie un  et un an et demi pour la partie deux. Je pourrais même envisager de refaire un découpage de la partie 1 (et faire de la parenthèse japonaise un tome à part ?) mais il n’y a pas de nécessité fondamentale pour cela. 

Une solution parfaite donc ? Bah déjà je vais devoir reprendre à zéro la méthode Kanata Nash, qui plus est pour la dédoubler ! Mais bon c’est pour la bonne cause, repartir sur des bases saines peut justifier cela, surtout que j’avancerais bien plus vite désormais. Le vrai problème, c’est le jeu de changement de narrateur que j’avais imaginé. Avec un tel découpage, je n’arrive pas à voir comment je pourrais le maintenir, pour l’instant du moins. Et comme ça fait moins d’une demi-heure que je viens d’avoir l’idée il y a peut-être d’autres problèmes que je n’ai pas encore identifiés (comme trouver de nouveaux titres pertinents...).

samedi 11 avril 2020

Un réalisme miné par manque de violence ?

Pour le cœur de l’intrigue de DCAA, j’ai choisi d’avoir une puissante entité comme antagoniste, ce qui m’a permis d’en dire le moins possible dessus dans un premier temps, mais qui quelque part peut poser ou des problèmes de réalisme, ou des problèmes de profondeur. Or il s’avère que je tiens ou deux (ce qui peut en dire long sur l’interprétation de l’œuvre, mais c’est un autre sujet). Je dois doter l’organisation de motivations, d’une histoire, déterminer ses moyens d’actions….ce que je ne suis peut-être pas en mesure de faire. 

Car je n’ai aucunement l’intention de faire une œuvre axée sur la violence*. Or d’une part, difficile qu’une telle entité ne puisse avoir recours à la violence - quoique, de par sa taille, elle peut justement parvenir à ses fins bien autrement, en tout cas sans recourir à la violence «graphique» dont l’emblématique violence physique fait partie. D’autre part, l’univers dans lequel se passe DCAA est très proche du notre, ce qui implique qu’il y subsiste une part substantielle de violence. Or difficile de dépeindre une intrigue réaliste avec un tel antagoniste en faisant l’impasse sur la violence. 

Mais ce n’est peut-être pas le principal problème. Oui je vais tomber ici dans la caricature du «tu ne peux pas bien en parler si tu ne l’as pas vécu». J’ai l’impression d’avoir bien été épargné par ces formes de violence, suffisamment pour ne pouvoir qu’entrevoir leur réalité. J’ai l’impression que tout en sachant que cela existe, cela n’en reste pas loin théorique au fond de moi, et que de nombreuses personnes dans mon entourage en parlerait bien mieux que moi. Donc comment pourrais-je écrire de manière convaincante sur le sujet ? Je n’ai d’ailleurs jamais été attiré par les œuvres de fiction dont la violence physique est un ressort majeur. Même si là n’est pas le problème, puisque le contexte importe beaucoup : on sait que l’on est face à une fiction justement !

Après ce n’est pas un obstacle insurmontable pour autant. J’aurais l’occasion d’en discuter avec ma petite équipe de relecture. Je pense que vais devoir construire l’histoire avec une version pas tout à fait aboutie de l’organisation. Rendez-vous très bientôt pour faire le point sur l’étape 5 du volet «Annecy» !


*Oui, dans ce billet, même si ce ne sera pas tout le temps explicité, il est question de violence «graphique», tout ce qui est coups, sang, et autres atteintes physiques aux personnes, humaines ou pas d’ailleurs !

lundi 6 avril 2020

L’organisation, un personnage comme un autre

En ce mois d’avril 2020, je reprends la mise en place du plan d’ « Annecy », le premier volet de la saga. Au passage, je confirme le plan que j’avais proposé dans un précédent billet, à savoir un arc principal en 4 parties (« Envoyé Spécial » sera certes dans le même univers, mais ce sera une autre histoire sans grand lien avec l’arc principal).

Pour établir le plan, tout me paraissait sans l’être totalement. Les personnages semblent s’articuler sans problème, mais j’ai du mal pour autant à rédiger l’étape 5. Car à côté des personnages, il faut que je prenne des décisions super importantes en ce qui concerne l’organisation. 

C’est en faisant une soirée « jeu des post-it » que la solution a commencé à se dessiner dans ma tête. J’étais dans un très bon groupe de joueuses et de joueurs, alors autant j’étais surpris par nos idées respectives, autant je été faisais une fausse idée de ce que ça donnerait d’avoir de très bon joueurs (c’était chouette mais c’était long !). Tout ça pour dire que j’étais surpris que mon personnage avait beau avoir de super pouvoirs, il n’avait pas d’antagonistes (QUOI ????!!!!!). Ajoutez à cela qu’il parlait français mais pour lui, la notion de nationalité n’avait pas de sens, voire même que déterminer s’il était vivant était pas si simple. Bref, vous comprenez pourquoi après une bonne nuit de sommeil, M. Barbapapa m’a aidé à repartir sur de bonnes bases sur mon plan. 

L’organisme n’est ni une personne physique ni un décor emblématique, elle a toute sa place en tant que tel dans mon plan façon Kanata Nash. À partir de maintenant, les bonnes nouvelles (ou les nouvelles tout court) vont pouvoir s’enchaîner de nouveau. À bientôt !

lundi 30 mars 2020

Mon expérience de confinement

J'étais le dernier à imaginer embrayer sur le sujet, tant j'en ai une overdose de le voir le abordé sur le moindre fil des réseaux sociaux ou la moindre conversation à distance (vu qu'il ne me reste que ça, et que mon boulot n'est pas vraiment propice à la conversation de toutes façons). Mais l'anecdote est à la fois suffisamment interessante et pas trop proche du sujet pour que je vous en fasse part.

Il y a donc une expérience de confinement dans la saga «De Clichy À Annecy». Cela se passe dans la partie «Annecy/Pilotage Passion». Fin 2002, à l'issue de sa saison au Japon pour l'émission Best Motoring, Léo est convié au gala de remise des prix (car l'émission a présenté un championnat «officiel»...). L'événement est suffisamment important pour qu'il y convie toute la bande, à savoir Sylvain, Alana, Alexandre, Ilizana et Ernest (pour ne citer que les personnages relativement épargnés des modifications à venir). C'est donc pour tout ce beau monde l'occasion de revoir leur héros depuis de longs mois, ce qui n'est pas sans susciter de l'émotion. De l'émotion mais aussi quelques tensions et frictions, suite à des événements récents concernant un certains nombre de nos touristes de fin d'année. 

Sauf qu'à cette période, le Typhon Higos sévit sur le Japon. pas de bol pour notre bande d'amis, qui se retrouve confinée à l'hôtel. Un confinement qui donnera lieu au dénouement d'un certain nombre d'intrigue et à quelques révélations !

Comme le ton de l'article peut le laisser sous entendre, ce passage du récit est sujet à modifications, ou pour le dire plus clairement, à simplifications ! En effet, le passage brut compte déjà près de 7000 mots répartis sur une dizaines d'intrigues, de longueur et qualité inégales. Pire, les deux meilleures (le pari perdu et le récit du duel d'Impreza à Twin Ring Montegi) sont les plus difficiles à rattacher à la trame.

À l'image de ce que j'ai fait pour «Le Couple des Vacances : Juillet et Août», je reprendrais cette partie «par le haut» et donc exit les sous-intrigues ne pouvant servir la trame principale, le tri se fera «tout seul». Donc lorsque vous lirez ce volet, en arrivant à la période  fin 2002/fin de la saison Best Motoring, vous serez peut-être amené à penser à votre expérience de confinement actuelle, ou, dans le meilleur des cas, à ce billet de blog vous faisant entrevoir ce qu'il était censé y être évoqué ici.