lundi 9 septembre 2019

Clichy : petit problème avec les prénoms

Non, je ne me suis pas mis à reprendre le début de la saga, mais comme «Le Couple des Vacances : Juillet et Août» dépend de la partie «Clichy», et qu'une bonne partie de la classe y fait son apparition, il me faut régler dès à présent le problème des prénoms. 

Parmi les règles que je me suis fixées, la plus importante porte sur les homonymies fiction/IRL. Comme éviter toute homonie semble impossible, il me faut, à minima vous en conviendrez, éviter des homonymies avec des camarades de classe de ma Terminale. Évident, non ? Et qu'est-ce que je ne découvre pas quand je reprends le chapitre se déroulant sur les Champs Élysées ? Deux homonymies avec des camarades de classe de Terminales. Le pire étant que l'un des personnages concernés est très inspiré de l'original dans sa personnalité. Une autre homonymie était avec un personnage d'un autre partie de la saga, je voulais mettre en place un clin d'œil en contrastant les deux personnages, mais j'ai l'impression que c'est plus une source d'embrouilles qu'autre chose. 

Ayant d'autres contraintes [cachées] pour le choix des prénoms, cela entraine aussi d'autres problèmes. Je pense faire le pari qu'une solution «par dessus la jambe» sera suffisante pour une version Alpha, sauf si cela choque mon comité de relecture (je vais essayer de le cuisiner tout en évitant l'effet expérimentateur).

Ah zut...j'ai aussi des homonymies problèmatiques avec des membres du comité de relecture...

samedi 7 septembre 2019

«Le Couple des Vacances : Juillet et Août» : Vers une version anti-spoil ?

Imaginez que vous n’ayez jamais entendu parlé de la saga DCAA. On vous propose la lecture du «Couple des Vacances : Juillet et Août». Ce texte se situe chronologiquement au milieu de l’intrigue. Ce qui veut dire qu’il se passe pas mal de choses avant !

Du coup, peut-être n’avez-vous pas envie de savoir tout de suite en quoi notre héros est spécial, d’autant que vous n’en avez pas besoin. Pas envie de connaitre de savoir en quoi l’année scolaire vécue par les protagonistes, quels étaient les événements bizarres qui lui ont donné cette coloration ? Et bien vous serez exaucés ! Il se trouve qu’en retravaillant les textes me permettant d’écrire le synopsis, je n’ai pas eu besoin de détailler tout cela. J’ai même eu l’impression que ça faisait plus bizarre en les évoquant ça et là (en même temps on parle d’événements bizarres…). 

Par contre, je me demande si ça ne va pas faire bizarre aux lecteurs de découvrir par la suite tout ce que je leur ai caché ? Pour l’instant, j’ai l’impression que ça peut faire un bon plot twist, avec des indices disséminés ça et là, et ça a le bon goût de simplifier et l’exposition, et la rédaction de ce premier volet, alors je me lance, ce sera une version «spolier-free» (sauf si vous me faites un plaidoyer solidement argumenté contre cette idée).


mercredi 4 septembre 2019

DCAA : retour aux plans

Me voici enfin à l'étape 9 : le plan !

J'ai un temps envigagé de sauter du synopsis (étape 7) à la rédaction (étape 10, «premier» jet). Autant pour cette œuvre je peux faire l'impasse sur l'étape 8 (fiche des personnages), autant le plan reste indispensable. Quelque part, ça semble évident : j'ai tellement remis de l'ordre dans le texte que celui-ci est inexploitable en l'état.

Petit rappel terminologique donc. Dans ma corbeille du projet, il y a essentiellement des textes abandonnées, plus enfoui que ça encore (dans un autre projet pour la plupart), il y a les «déchets ultime» (oui il y a des textes dont je ne suis vraiment pas fier, même si je les garde). Donc toujours dans cette nomenclature thématiquement parlé, mon texte actuel est à «valoriser [partiellement]». Donc, oui, j'accumule les poubelles autour de moi, mais je pourrais en vider une bonne partie lorsque j'aurais écrit un premier texte, éventuellement lorsque l'ensemble de la saga aura son synopsis.

Maintenant, pourquoi je parle d'un retour aux plans ? Car j'avais déjà eu l'intuition, avant de connaître la méthode Kanata Nash, qu'un (des) plan(s) étai(en)t nécessaire(s).

Voilà à quoi ça pouvait ressembler :