dimanche 16 septembre 2012

DCAA : au tour de Dav' Idlich de devenir un personnage à part entière !!

Le passage d'un texte imbriqué à trois histoires séparées (à défaut d'être réellement indépendantes) m'a permis de grandement enrichir l'intrigue. Léo et le narrateur n'étant plus en concurrence pour être «le» héros de mon histoire, je peux développer leurs univers respectifs. Et c'est en me penchant sur mes brouillons du premier volet (que j'aurais beaucoup à retravailler !) que j'ai eu cette idée géniale.

Qui est donc ce Dav'idlich (Attention, c'est un nom de travail ! Pas question de garder ce nom dans l'oeuvre définitive sans l'accord de son quasi-homonyme…) ? Finalement, bien plus qu'un illuminé qui donne l'alerte aux ultraterrestres dans le 20 minutes.

Dav' est journaliste automobile de formation. Il était l'homologue de Dominique Chapatte ou Jérémy Clarksson en Allemagne dans les années 90. Sa carrière d'essai prend fin suite à un accident qui le rend partiellement invalide. Il trouve une double reconversion : journaliste sur un tout autre sujet et scénariste de séries à ses heures perdues. 

Le «hasard» (À votre avis à qui appartient sa main ?) veut que ces deux activités vont bouleverser la vie de cet homme, et même celle d'autres personnes. Vous voyez où je veux en venir ? Le scénario de l'épisode «Invasion» du Clown, c'est à lui qu'on le doit. Mieux, le premier documentaire qu'il tourne l'impliquera fortuitement dans le dénouement des deux premiers volets de la trilogie. Vous vous imaginez «Oh là là ! Une grande enquête d'investigation (pléonasme recherché ?), il commence fort pour son premier documentaire !» Et bien pas du tout, c'était un documentaire tout ce qu'il y a de plus banal, juste qu'il était au bon endroit au bon moment. 

Voilà je n'en dis pas plus pour le moment, le reste étant de l'ordre du spoil.

jeudi 23 août 2012

Présentation d'Alana («Annecy»)


Une présentation qui avait besoin d'une mise à jour tant :
-le premier texte était catastrophique !
-Il me fallait quelque chose pour préciser un peu plus le contexte du «tome 3»

C'est de l'ordre du semi-spoil, dans le sens que cela révèle certains grands traits de la première moitié de l'intrigue de DCAA. Mais si vous avez lu le résumé de l'intrigue du «tome 2» (décidément, va falloir que je m'habitue à parler en terme de tomes !!), vous pouvez le lire sans risque !

Alana Emily Elian est la sœur de Sylvain. Très tôt, Alana devient fan de sport automobile, et  elle sessaie avec réussite au Drift. Quelle découvre avec le meilleur ami de son grand frère. Très à laise à l’école, elle participe à un dispositif d’échange culturel lui permettant de passer une partie de sa scolarité au Japon. Étant dans le pays du Drift, elle perfectionne sa technique, participe à des stages, et participe à des démonstrations. Pour aller plus loin, Alana doit faire ses preuves en compétition. Cest sans trop de difficultés quelle décroche une place en Formule France début 1998 mais pour la saison suivante, une fois de retour en France.

Malheureusement, Sylvain et elle deviennent orphelins cette année là  à la suite dun accident de la route survenue le jour de son retour en France. Alana le vit très mal. Elle se sent trahie par lautomobile, qui aurait peut-être pu devenir toute sa vie. Trahison accrue car sa sortie de scène, consistant à casser les moteurs les plus prestigieux sur des meetings, se retourne contre elle.

Mais la cruauté de lautomobile ne sarrête pas là. Dune part, parce que son frère Sylvain trouve le soulagement de sa souffrance dans une association ayant pour objet lautomobile. Dautre part, parce que le sport automobile est profondément encrée en elle, et est source de pulsions, denvie, de sensations.Elle ne peut pas arrêter du jour au lendemain.

Elle trouve une solution provisoire dans lisolement de ses études, mais finit par se convaincre douvrir les yeux de Léo et Sylvain sur ce que Mentes lui a montré au sujet de lautomobile, à savoir quelle nest pas toujours (pas vraiment ?) un apport bénéfique à la société (ni à lindividu).

Cest dans ce contexte quAlana rencontre Nicolas. Il sagit dun de ses plus grand fan, dune situation aisée, car se trouve être le fils du Président du Comex. Lidée lui vient naturellement : si lintelligence et les travaux de Mentes nont pas suffi, peut-être que lavis appuyé dune grande entité internationale ayant de lexpertise sur l’éthique et le développement durable devrait faire laffaire ?

Vous devinez que la prochaine présentation est celle de Nicolas lui-même....

lundi 20 août 2012

Ni une, ni deux, mais trois histoires pour le prix d'une !


L'évidence s'est imposé à moi vendredi soir, au boulot (qui a dit que les tâches répétitives étaient à bannir du milieu professionnel ? Parfois elles ont du bon….). Pour améliorer la cohérence de mes écrits «autour d'Annecy», ce n'est pas sur deux projets qu'il me faut travailler (DCAA et le p'tit nouveau), mais bien trois.

Et oui, trois !!!! Mais quel est donc le troisième venu ? Encore un nouveau projet à ajouter au reste ? Non, non, cette troisième partie, j'ai déjà commencé à travailler dessus. En effet, j'ai une histoire centrée sur Léo (partie Annecy), une nouvelle centrée sur Nicolas, mais j'ai aussi celle centrée sur le narrateur initial du projet, basée à Clichy, autour de cette classe de Terminale. Il est donc logique que ce soit une oeuvre séparée dans cette trilogie. 

Ce qui n'est pas une mauvaise chose en soit : FINI la contrainte de devoir entrelacer les texte, de trouver des éléments communs, d'équilibrer les contenus….Soit beaucoup de travail en moins ! En revanche, je vais devoir trouver au moins deux autres titres, et comme Léo est pour le moins statique (en bilan net), je ne sais pas si je pourrais garder l'idée d'un itinéraire (De Clichy à Annecy, d'Annecy à …? et de cette ville à encore une autre !). «Pire» [en terme de travail, mais mieux en terme d'intérêt pour vous], je vais devoir développer des éléments d'intrigue que j'avais laissés à l'état de moignon pour que le nouveau DCAA soit intéressant en tant qu'oeuvre à part entière. 

dimanche 19 août 2012

Une suite pour DCAA ?


Cela fait quelques temps que j'avais des idées qui ne pourraient pas être développées dans De Clichy À Annecy. Depuis quelques jours, j'ai pu cristalliser ces idées sur un schéma d'intrigue suffisant pour développer une vraie histoire. À ma grande surprise, cela pouvait se faire dans le décor développé dans DCAA, ce qui rend l'idée autrement plus intéressante ! 

«Quoi ? Tu n'as pas encore fini DCAA que tu travailles déjà sur une suite ?» 
Tout d'abord, ce ne sera pas vraiment une suite, dans le sens que cela pourra se lire sans avoir lu DCAA (mais ce serait dommage, d'autant plus pour les risques de spoil). Ensuite, travailler sur plusieurs projets en parallèle n'a rien d'exceptionnel, et pour moi, cela devrait plutôt être salvateur (je serais moins frustré par tout ce qui ne figurera pas dans DCAA). La répartition du temps de travail en tiendra compte également, puisque j'ai hâte de vous aguicher sur De Clichy À Annecy pour vous donner envie de lire la suite !

Deux mots sur cette nouvelle histoire tout de même ? 

Nicolas est le fils d'un dirigeant d'une grande entité, le comité d'éthique, qui a pour vocation de donner des règles de bonnes conduite aux grandes multinationales. 
Héritant de la direction du Comex, Nicolas souhaite lui donner plus d'envergure en attaquant frontalement les problèmes ayant motivé la création du Comex. Il souhaite intégrer une dimension sociale à l'économie mondiale, en travaillant sur la synergie entre économie et politique. 
Le projet est très ambitieux, il faut cerner les enjeux, les acteurs, les intérêts croisés…et surtout attaquer de front des institutions puissantes qui ne vont pas se laisser compter. Effectivement, l'influence du Comex devient trop pressante pour ces dernières, et un beau jour, Nicolas, pourtant irréprochables sur bien des points, se trouve victime d'un ad hominem. Ce dernier est imparable, puisque fondé sur des faits réels. Nicolas pourra-t-il se relever de cette attaque et mener à bien son projet ?

Et maintenant, je m'en remets pour conclure cet article au traditionnel «W&S» ! («Wait and See» pour vous, «Work and Sweat» pour moi !)

dimanche 17 juin 2012

Un peu de moi dans les personnage de DCAA : Léo et la cuisine...

Cette année, la série d'article du 17 juin (et il s'en sera fallu de peu !) portera sur des anécdotes de traits de caractère que je partage (ou pas !) avec les personnage. On commence par Léo sur un sujet inattendu...la cuisine !


Comme je l'ai peut-être laissé entendre dans mes billets précédents, Léo n'excelle pas que sur la piste, il fait aussi des merveilles en cuisines !


La cuisine, Léo, il adore ça. Il découvre complètement par hasard qu'il a "le truc", un sens inouïe de la préparation qui lui permet de ne jamais râter ses recettes, mêmes les plus ambitieuses. Alors il en apprends des nouvelles. Cantonais jusque là à ce à quoi il était habitué jusque là, c'est à dire à la cuisine Française, il profite de cette assurance pour se lancer de nouveaux défis. Né dans une culture Japonaise, il apprends de nombreuses préparations nipponnes en souvenir de son enfance, et régale au point de faire du tort à son ami Ito, restaurateur professionnelle de cuisine japonaise, et qui n'est pas Chinois, mais bel et bien un Japonais vivant au Japon.


La petite histoire retiendra que dans sa période de deuil de Mélissa, il perdit toute aptitude à préparer ne serait-ce que des pâtes, tellement le choc fut grand. Heureusement, il savait encore préparer ces céréales (tout ce qui est préparation à base d'eau ou de lait chaud, non par contre), ce qui était bien utile car Alexandre n'est pour sa part vraiment pas doué pour la cuisine !


Il s'est presque fait une passion de cela, au point que son appétit, voire même ajouté à celui d'Alexandre, ne suffisait plus pour qu'il se fasse plaisir au fourneau. C'est pour cela qu'il invite régulièrement ses amis : Ilizana bien sûr, Alana, lorsqu'elle n'était pas déjà là, et Sylvain, Mentes, Ernest, etc...


Mais d'où lui vient ce talent ? Je veux dire, plus pragmatiquement, pourquoi j'ai choisi de lui faire ce don ? Il s'agit tout simplement tout simplement d'une forme d'autodérision, puisqu'il se trouve que la cuisine, j'ai horreur de ça ! Ici n'est pas lieu de parler de moi, mais il y a de forte chances que vous ne puissiez imaginer ce que cela peut signifier pour moi (surtout que ça ne signifie pas "resto+pâtes+surgelé"....). En fait, chaque détail sur le Léo cuisinier est une sorte d'exact opposé sur ma situation/ma position sur le sujet. Alors, en lisant ces passages, essayez de deviner ce qu'ils implique pour moi : fou-rires garantis !!!

La flûte enchantée

Ainsi l'Organisation aurait été mise à genou par un simple flûte ? Flûte alors (attendez la fin du billet avant de me lyncher pour ce jeu de mot pathétique...)


C'est pourtant ce qui va se passer. En vous disant cela je ne vous ai rien dit. Mais l'idée que j'ai (presque) est tout simplement grandiose. J'en ai sérieusement les larmes aux yeux rien qu'à l'évoquer. 


Cela rempli deux buts : tout d'abord, l'hommage. Par ceci je rend hommage à une personne de mon entourage, qui a suscité ce sentiment de bonheur léger si propice à une inspiration et une imagination débordantes. Je ne dirais pas qui, mais les petits détails comme le matériau de la pièce clé, le prix de la flûte sauront mettre les (très très très) initiés sur la voie...


Et puis le deuxième but, vous vous en doutez, c'est l'allégorie. L'image qui appuie cette dimension surréaliste que je veux donner à l'oeuvre. Cela donne un cachet si poétique ! Vous comprendrez tout cela en découvrant les circonstances et la scène de la «rencontre» de Léo avec la dite flute, et vous m'en direz des nouvelles !!!


Vous pouvez me lyncher maintenant.

lundi 4 juin 2012

Quand DCAA s'intéresse au ferroviaire

Comme le ferroviaire a plus ou moins fait l'actualité de mes publications sur d'autres réseaux sociaux, parlons de deux appendices que je rédige actuellement. 


C'est l'histoire de deux organisations. L'une étant l'initiative d'un économiste cherchant à faire le plus gros pied de nez au système en mettant en place toute une filière, une industrie, une activité économique....pour lutter contre les graffitis sur les infrastructures ferroviaire. Faisant un parallèle avec la publicité dans ses disproportions, il dénonce le repli des pays riches sur eux même, perdant le sens des priorités, préférant mettre des millions pour des activités qui apportent peu à la communauté (même si on trouve que les trains et les ponts sont beaucoup plus jolis sans graffitis !), plutôt que l'affecter à des aides aux développement des pays pauvres. Ce qui aura dont d'agacer les politiques, impuissants car conscients du vivier d'emploi qu'il représente....


L'autre, c'est une organisation spontanée qui s'amuse du comportement grégaire des usagers de transports en commun. Cette organisation préparent des petites blagues à ces usagers, rien de bien méchant, mais c'était sans compter sur la bêtise et la folie de ces derniers....Du coup, cela tourne au drame.


Et est-ce que ça fait avancer le schmilblick tout ça ? Y a-t-il un rapport entre ces entités et l'intrigue ? Il se trouve que oui, comme vous le découvrirez dans l'histoire complète....

mardi 29 mai 2012

Léo au Japon : Victime d'une triple imposture ???

Jusqu'à hier (lundi) soir, je n'avais pas d'idée de ce que j'allais publier comme article cette semaine. En fait...Si. Samedi, réalisant l'urgence et l'absence d'idée, j'ai pensé à vous faire un point d'avancement dans la méthode Kanata Nash. Mais je n'avais pas avancé d'un iota sur les résumés et ça s'annonçait ardu pour trouver le temps de m'y atteler. 


Hier soir cependant, je devais me raser....et évidemment, j'y ai pensé. Mais comme la place un temps vacante avait été prise récemment, alors j'ai du penser à autre chose...


Inévitablement j'ai pensé à Alana. Alana et sa douloureuse passion pour la compétition automobile. Alana et sa haine pour l'automobile.


Je passe sous silence le cheminent d'idées, cela m'a inspiré la fin du récit du retour de Léo au Japon. Quand je pense que jusque là c'était le blanc le plus total, et que l'idée m'est venue avec une facilité déconcertante (je n'ai pas eu à réfléchir à un seul moment !!!). Et le tout, dans une logique déconcertante, sans contradiction interne....Que c'est beau....


Tout ce que je peux vous dire pour le moment, sans besoin d'ajouter quelque label anti-spoil que ce soit à ce billet, c'est que lors de son séjour au japon, Léo sera victime d'une «petite» farce. Lorsque vous lirez ce passage, il se peut que vous ne releviez rien. Il se peut aussi que vous dites «Haha !!! Elle est la farce !» Si tel est le cas, alors relisez le passage attentivement : saurez vous deviner le triple empilement de piège qui concerne Léo à ce moment précis ? Eh oui ! Trois !!! Pas deux ni un seul, mais bien trois. Si vous êtes amenés à donner votre langue au chat, rassurez-vous, la réponse sera donnée plus loin dans l'histoire.

lundi 21 mai 2012

Étape 4 : il ne me manque plus que les résumés !


Imaginez-vous dans Crash Bandicoot, vous tombez pour la troisième fois consécutive sur une caisse du masque de protection. Mais dans votre progression, vous êtes ralenti par un passage délicat (glace, trous à répétions..) vous empêchant de profiter de votre période d'invincibilité de dégommer vos ennemis sans effort...C’est un peu ce qui m’est arrivé la semaine dernière. J’étais dans une semaine de folle inspiration, mais d’une, il m’a fallu du temps pour le comprendre (un premier jet pour un projet de spectacle en deux heures, complimenté et quasi-intouché depuis), et depuis je n’ai pas eu l’occasion de me replonger dans l’écriture de DCAA.

Pas eu l’occasion de me replonger dans la méthode Kanata non plus ! J’étais bloqué sur des points de l’étape 4 (une épiphanie par-ci, un besoin par là...). Je viens de me débloqué il y a peu...pour réaliser que j’allais oublier les résumés. Même si à priori, ce n’est pas grand chose (7*5 lignes), j’ai l’impression que l’étape 5 va me faire les yeux doux quelques temps encore...

mardi 8 mai 2012

Moi pas assez bavard ? Si seulement vous saviez...

En général lorsque l'on ne s'exprime pas ou peu, c'est que l'on a rien à dire...ou peut-être trop.


Dans une telle période d'inspiration, comme en ce moment, je suis partagé entre frénésie et frustration. Dire un mot de ce que j'écris, mais que puis-je dire sans trop en dire, surtout lorsque j'écris des passages sensibles comme en ce moment ?


Une solution m'est apparue comme une évidence : Faire des catégories d'articles. Classer ses communications entre les anodines, sans incidence, des amuses-bouche qui tiennent de détails, ...et celles les plus sensibles, réservées aux collaborateurs. Avec pourquoi un continuum entre les deux.


Je ne saurais dire pourquoi, quelque chose me déplait dans cette idée, c'est pour cela que je ne l'ai toujours pas mise en pratique.


Peut-être qu'un intermédiaire plus informel - entre la catégorisation à outrance que je viens de proposer, et ne rien faire du tout comme aujourd'hui - serait la solution. Rester dans le binaire «risque de spoil»/«aucun risque de spoil» avec un avertissement par défaut sur les premiers....


Cela va mettre effectivement utile si je m'étends sur l'organisation. Mais ne vous attendez pas pour autant à des scoops extraordinaire dans la catégorie des spoil potentiels (ou les spoils ne seront justement, que potentiels...)


À essayer, donc.

lundi 30 avril 2012

La méthode Kanatash !

Vous trouvez que le projet de rédaction de DCAA train en longueur ? Moi aussi ! Je pense avoir trouvé la solution.

En effet c'est avec joie que je vous annonce avoir entrepris de plier DCAA à la méthode Kanata !

Kanata ? Qu'est-ce que c'est ? 
Kanata Nash est le pseudo d'un auteur Franco-canadien inspiré par les thriller et les fantastiques, qui tient entre autre un blog sur ses ouvrages ainsi que quelques tutoriel pour jeunes auteurs. Et dans le lot, la méthode en dix étapes pour écrire un récit de fiction, fruit d'une compilation d'une série de méthodes et conseils à la rédaction, fait office de référence. Vous pourrez en lire davantage sur l'auteur ici.

À l'heure actuelle, je peaufine l'étape 4 sur 7 personnages. Il me reste en fait à écrire les résumés de 5 lignes. Pour la suite,  je vous tiens informé de ma progression dans les étapes de la méthode, et vous prépare un billet sur les changement qu'a apporté la méthode sur DCAA.

dimanche 25 mars 2012

DCAA, une publication numérique ?

Je parle d'une parution «prochaine» de DCAA. Mais s'agira-t-il d'une version papier , une version numérique. les deux ?


J'ai commencé à envisager une publication prochaine de DCAA début  2010. C'était l'époque de l'arrivée imminente de l'iPad, et du potentiel fabuleux qu'il représentait pour le livre numérique. Je penchais alors en faveur d'une édition exclusivement numérique. Fin 2011, j'ai commencé à considérer que ça devait être avant tout une oeuvre papier avant d'être une oeuvre numérique. Avouons qu'avoir l'imminente possibilité de faire une ou deux éditions à compte d'auteur change un peu notre regard sur cette éventualité. 

Et puis il y a eu ces rumeurs de spécial event sur l'édition numérique...Cela m'a fait reconsidérer l'option numérique. Les rumeurs parlaient d'édition numérique pour tous. Ayant suivi la Keynote, j'ai entièrement pris acte de cette opportunité mais aussi ce qu'elle impliquait. Il s'agit certes de publier un livre sans tomber dans le démarchage de la recherche d'un éditeur, mais de publier une oeuvre enrichie, pas question de ne publier que des ko de texte. 

«Mais ça veut dire que la version numérique sera bien plus sympa [et que c'est injuste pour les amoureux exclusifs du livres et pour tout ceux qui n'ont pas d'iPad] ! »Oui, c'est vrai, mais cela ne me dérange pas du tout, et pour cause : DCAA a été pensé comme un roman classique, ce ne sera pas sur ce contenu supplémentaire que je mise pour faire l'intérêt du livre. Tel que je vois le chose aujourd'hui, c'est de permettre à quelqu'un qui n'y connait rien en compétition automobile, en jeux vidéo, qui n'a jamais vu la Défense...de voir et de comprendre de quoi on parle.
Mais ça reste de l'ordre du petit plus, de «la note de bas de page illustrée». Pour le moment...

«Tu vas devoir t'improviser infographiste, photographe, vidéaste...»
Certainement pas, je ne ferais pas tout ça tout seul. Je ferais appel à des spécialistes, et ceux qui seraient intéressés par le projet, qui liraient ces quelques lignes et qui ne regretteraient pas le «spoil» que cela implique, sont les bienvenus !

«Premier livre et première publication en livre enrichi, wouah !» 
D'ici cet automne je testerais le travail sur un squelette de livre enrichi (cela dépendra beaucoup de ce que Montain Lion proposera pour iCloud, puisque c'est ma plateforme de travail actuelle). Je vous ferais part de mes impressions à ce propos !

vendredi 23 mars 2012

Votre serviteur bientôt sur les forum d'auteurs ?

Vous allez rire, mais je n'y avais jamais pensé avant, avant d'en parler à des amis en fin d'année dernière. Amis que j'ai découvert écrire eux aussi, et s'ils ne tiennent pas de blogs comme moi, je fais plutôt pâle figure à côté de leurs écrit, leur univers...

Voici ce que j'y songe sérieusement, j'en suis quelques uns en ce moment. Affaire à suivre ;-)

mercredi 21 mars 2012

2012 : année d'ouverture sur le monde !

21 décembre 2011 : Je vous ai laissé sur un billet qui vous a sans doute laissé sur votre faim, puis ce fut l'hiver. Un hiver pendant j'ai «hiberné» sur le plan créatif, mais également sur le plan personnel.

Hiberné, pour le côté «repos» que cela sous entend, mais aussi et surtout pour le côté «reconstruction», le côté «restructuration pour un nouveau départ...

21 mars : «c'est le printemps, debout là-dedans !». Le moment est venu d'en dire plus sur ce qui m'a ainsi occupé, sans que je n'écrive quoique ce soit (ou presque !) : ce sera l'objet de mes tout prochains billets !!