dimanche 17 juin 2012

Un peu de moi dans les personnage de DCAA : Léo et la cuisine...

Cette année, la série d'article du 17 juin (et il s'en sera fallu de peu !) portera sur des anécdotes de traits de caractère que je partage (ou pas !) avec les personnage. On commence par Léo sur un sujet inattendu...la cuisine !


Comme je l'ai peut-être laissé entendre dans mes billets précédents, Léo n'excelle pas que sur la piste, il fait aussi des merveilles en cuisines !


La cuisine, Léo, il adore ça. Il découvre complètement par hasard qu'il a "le truc", un sens inouïe de la préparation qui lui permet de ne jamais râter ses recettes, mêmes les plus ambitieuses. Alors il en apprends des nouvelles. Cantonais jusque là à ce à quoi il était habitué jusque là, c'est à dire à la cuisine Française, il profite de cette assurance pour se lancer de nouveaux défis. Né dans une culture Japonaise, il apprends de nombreuses préparations nipponnes en souvenir de son enfance, et régale au point de faire du tort à son ami Ito, restaurateur professionnelle de cuisine japonaise, et qui n'est pas Chinois, mais bel et bien un Japonais vivant au Japon.


La petite histoire retiendra que dans sa période de deuil de Mélissa, il perdit toute aptitude à préparer ne serait-ce que des pâtes, tellement le choc fut grand. Heureusement, il savait encore préparer ces céréales (tout ce qui est préparation à base d'eau ou de lait chaud, non par contre), ce qui était bien utile car Alexandre n'est pour sa part vraiment pas doué pour la cuisine !


Il s'est presque fait une passion de cela, au point que son appétit, voire même ajouté à celui d'Alexandre, ne suffisait plus pour qu'il se fasse plaisir au fourneau. C'est pour cela qu'il invite régulièrement ses amis : Ilizana bien sûr, Alana, lorsqu'elle n'était pas déjà là, et Sylvain, Mentes, Ernest, etc...


Mais d'où lui vient ce talent ? Je veux dire, plus pragmatiquement, pourquoi j'ai choisi de lui faire ce don ? Il s'agit tout simplement tout simplement d'une forme d'autodérision, puisqu'il se trouve que la cuisine, j'ai horreur de ça ! Ici n'est pas lieu de parler de moi, mais il y a de forte chances que vous ne puissiez imaginer ce que cela peut signifier pour moi (surtout que ça ne signifie pas "resto+pâtes+surgelé"....). En fait, chaque détail sur le Léo cuisinier est une sorte d'exact opposé sur ma situation/ma position sur le sujet. Alors, en lisant ces passages, essayez de deviner ce qu'ils implique pour moi : fou-rires garantis !!!

La flûte enchantée

Ainsi l'Organisation aurait été mise à genou par un simple flûte ? Flûte alors (attendez la fin du billet avant de me lyncher pour ce jeu de mot pathétique...)


C'est pourtant ce qui va se passer. En vous disant cela je ne vous ai rien dit. Mais l'idée que j'ai (presque) est tout simplement grandiose. J'en ai sérieusement les larmes aux yeux rien qu'à l'évoquer. 


Cela rempli deux buts : tout d'abord, l'hommage. Par ceci je rend hommage à une personne de mon entourage, qui a suscité ce sentiment de bonheur léger si propice à une inspiration et une imagination débordantes. Je ne dirais pas qui, mais les petits détails comme le matériau de la pièce clé, le prix de la flûte sauront mettre les (très très très) initiés sur la voie...


Et puis le deuxième but, vous vous en doutez, c'est l'allégorie. L'image qui appuie cette dimension surréaliste que je veux donner à l'oeuvre. Cela donne un cachet si poétique ! Vous comprendrez tout cela en découvrant les circonstances et la scène de la «rencontre» de Léo avec la dite flute, et vous m'en direz des nouvelles !!!


Vous pouvez me lyncher maintenant.

lundi 4 juin 2012

Quand DCAA s'intéresse au ferroviaire

Comme le ferroviaire a plus ou moins fait l'actualité de mes publications sur d'autres réseaux sociaux, parlons de deux appendices que je rédige actuellement. 


C'est l'histoire de deux organisations. L'une étant l'initiative d'un économiste cherchant à faire le plus gros pied de nez au système en mettant en place toute une filière, une industrie, une activité économique....pour lutter contre les graffitis sur les infrastructures ferroviaire. Faisant un parallèle avec la publicité dans ses disproportions, il dénonce le repli des pays riches sur eux même, perdant le sens des priorités, préférant mettre des millions pour des activités qui apportent peu à la communauté (même si on trouve que les trains et les ponts sont beaucoup plus jolis sans graffitis !), plutôt que l'affecter à des aides aux développement des pays pauvres. Ce qui aura dont d'agacer les politiques, impuissants car conscients du vivier d'emploi qu'il représente....


L'autre, c'est une organisation spontanée qui s'amuse du comportement grégaire des usagers de transports en commun. Cette organisation préparent des petites blagues à ces usagers, rien de bien méchant, mais c'était sans compter sur la bêtise et la folie de ces derniers....Du coup, cela tourne au drame.


Et est-ce que ça fait avancer le schmilblick tout ça ? Y a-t-il un rapport entre ces entités et l'intrigue ? Il se trouve que oui, comme vous le découvrirez dans l'histoire complète....