dimanche 8 mars 2009

Un engagement politique dans DCAA

...ou comment en suis-je arrivé à parler "anti-diesel" dans De Clichy À Annecy.

Tout a certainement commencé lors de la rencontre de Céline (pas une vraie Céline, un personnage de mon récit). Ce personnage, né d'un des mes brouillons à inspiration "peu orthodoxe" est un chauffeur de taxi (c'est comme ça qu'on dit pour une fille ?), qui a l'immense chance de travailler à bord de la nouvelle Classe S....Essence. Très vite, je ferais le rapprochement entre Céline et "la redoutable Mercedes de la course de fin 2000. Mais ce n'est pas avec cette course que Céline prendra de l'importance.

En effet, à l'époque où j'écrivais ce passage, j'ai été victime d'une haute trahison d'un des meilleurs amis. J'ai donc décidé de créer un chapitre parlant de la trahison entre amis. Heureusement que je ne me souviens plus de cette trahison car sinon la clause "tout ressemblance avec des personnages ou des faits réels serait purement fortuite" sauterait.

Cette trahison, elle est simple : c'est l'histoire d'un chercheur, ami de Léo, qui s'est vendu politiquement parlant afin d'avoir des fonds pour sa recherche. Ceci faisant, il a pris le parti du marché diesel en obtenant pour le compte d'un grand constructeurs des accords politiques. Du coup, son labo est passé d'une petite salle à plusieurs étages du centre de recherche où il travaillé. Son véhicule de fonction était une Passat....TDI.

Léo ne pouvait resté indifférent à cette situation, il a donc fait jouer son association et son entourage pour contrer cette décision politique. Le chapitre "anti-diesel" était né.

J'ai alors ouvert un chapitre sur le début de la polémique. Cela nous renvoie à fin 2000, où eu lieu la crise de la BAE, qui s'est monté contre la BAD.

Très récemment, c'est Alana, la sœur de Sylvain, qui a rejoint le combat pour des raisons que je n'évoquerais pas ici. Elle y a pris part par le biais de l'emission "Top Gear".

DE CLICHY À ANNECY : mes nouvelles idées.

La chronologie est un véritable point noir lors de la rédaction des brouillons. En développant une idée, je tombe vite sur des impasses ou des anachronismes grotesques. Mes solutions de calendriers s'avéraient peu exploitables et pas assez explicites. De plus, je devais les combiner pour arriver à quelque chose de "parlant", ce qui me prenait un demi-bureau de calendriers.

Dans le même, avec le travail sur la disparition de Sylvain, j'ai dû donner de l'importance au personnage qu'est sa sœur, dont je devais parler à un moment ou à autre. Il se trouve qu'elle est malheureusement tombé dans le plat antidiesel (voir billet de la semaine prochaine).

Pour moi, cela faisait surtout un personnage de trop. En effet, comment parler de personnages principaux s'ils sont une dizaine à avoir ce statut. Il me fallait faire "le ménage". Mais comment ? Impossible de supprimer des personnages "comme ça", pour des raisons pratiques ou affectives (eh oui...).

En cours de math, j'eu l'idée que je ne savais pas encore géniale de lister ces personnages, sans but particuliers.

Je vous ferais part de cette liste au cours d'un prochain billet, je profiterais de l'occasion pour décrire succinctement chacun des personnages. Par la suite, je pourrais développer cette présentation.

Puis, je me suis dit "Et si j'arrivais à fusionner des personnages" ? J'ai trouvé une paire que je pourrais fusionner.

Mais un autre détail m'est apparu : la liste elle-même faisait appel de manière criante à la chronologie. J'ai donc décidé de noter, à côté de chaque personnage, leur dates d'apparitions ("et de disparition") dans l'œuvre.

C'était ça, l'idée génial ! En fait, ce n'est pas tellement que la chronologie décide de ces dates, mais que les personnages sont des repères-clés pour la chronologie. Voilà sur quoi je vais travailler sur ces prochains jours, en parallèle de mon travail de relecture et de la sœur de Sylvain.

DE CLICHY À ANNECY : quelques nouvelles du projet.

Avec le retour de conditions suffisamment "potables" pour écrire, j'ai repris il y a peu mes brouillons. Mais je me suis lancé dans un autre projet : la relecture.

Je relis tous les textes que j'ai écrit pour ce projet, sans impasse (y compris les brouillon de chapitres que vous n'aurez pas !). C'est par moment tellement mal écrit que cela en devient une corvée, corvée que j'estime nécessaire pour récupérer de bonnes idées.

J'ai commencé tard ma prise de notes, ce qui m'obligera sans doute à relire les premiers passages.

Pour la rédaction des nouveaux brouillons, j'ai revendu mon EeePC qui ne fonctionnait plus pour revenir à mon stylo à enregistrement numérique. Comme j'ai pas mal de note à récupérer dessus, cela me fera faire d'une pierre deux coups.