jeudi 23 mai 2013

Du Japon à la Belgique en passant par Lyon (2/2)

Assez parlé du Japon, parlons des Belges à présent. Nous avons tendance à les tourner en dérision a travers un folklore de blagues extrêmement prolifique. Rien d'étonnant à ce qu'ils se présente dans DCAA comme des donneurs de leçon d’humilité (Bon si je développe, je risque de devoir encore scinder mon billet!). 

Première leçon, celle de la résilience. Qui n'a jamais pesté contre une coupure d'électricité ou contre des travaux qui nous privent d'eau chaude pendant une semaine ? Certainement pas les Belges de mon livre, qui organisent volontairement une coupure nationale annuelle. De quoi relativiser une infortune passagère. «Mais pourquoi s'infligent-ils une telle torture ?» Qui a parlé de torture ? Lisez le livre, vous verrez qu'il ne faut pas le prendre comme ça. Ah zut, c'est vrai, je n'ai pas fini de l'écrire...

La deuxième leçon concerne un autre outil de la vie domestique, que nous possédons TOUS (ou presque...) chez nous. Elle est assez cocasse car elle met directement en scène Léo et Alana, l'objet étant à l'origine d'un malencontreux incident. Ce dernier oblige Léo et Alexandre à se justifier d'une manière assez originale : passer un weekend chez leur ami belge qui vit à Lyon (le voila le lien avec la ville de Lyon). Or il se trouve que j'avais évoqué un ami Lyonnais pour justifier un autre détail scénaristique...Et zou, je fusionne ces deux figurants et l'ami Belge Lyonnais devient un personnage à part entière de l'intrigue. Je loue ce Belge Lyonnais qui vient résoudre une énoooorme difficulté que j'ai introduite dans le chapitre sur le dénouement, vous verrez comment.

Allez, je m'arrête là, je vous ai volé suffisamment de votre temps.

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