mercredi 22 septembre 2010

DCAA : la mort de Mélissa

Bon, je ne sais pas si je dois mon inspiration soudaine de ma muse, mais on peut dire que je n'ai pas chaumé ce matin !
Je suis encore sous le coup de l'émotion : c'est vraiment excitant d'enchainer les pages de la sorte. Émotion aussi du fait du sujet évoqué par le gros de mon avancée : la mort de Mélissa. J'en ai même lâché une larme, je me suis vraiment impressionné sur le coup.
Pas très gai comme sujet, j'en conviens. Mais évènement au combien important pour Léo, même si son évocation tient en une phrase dans le résumé que j'ai fait de sa présentation. Loin de moi l'idée d'en faire une description "journalistique" (cru, détaillée...), il s'agit plutôt de développer le contexte de l'accident, et d'ôter son côté "cheveu sur la soupe" (deux schémas aussi extrême dans une seule phrase ? Whoaah !). J'en suis arrivé à une qualité de travail telle que j'arrive à expliquer des faits ou attitudes, simplement proposés sans justification, ce qui renforce la cohérence de l'œuvre.
Les cartes se redessinent en permanence. Vous souvenez-vous de lorsque j'évoquais l'idée de changements dans le projet ? Le poids que prend ce que je pourrais appeler "le chapitre 9" ? L'idée de définir l'œuvre, comme celle de scinder le projet, est de plus en plus pertinent. Par forcément pour en faire des œuvres totalement indépendantes, mon hypothèse de travail privilégiée est de faire quelque chose dans l'esprit de De DüsselDorf à Annecy. La première tâche toutefois sera de découper ce "chapitre 9" (en l'état actuel de ma numérotation, voir billets précédents). Pour fixer les idées, le tout faisant 30 pages avant que je ne reprenne ce mois-ci (contre une à deux pages habituellement, une dizaine exceptionnellement). Le gros des trente pages était sous la partie que j'ai rédigée ce matin. Ce "gros des trente pages" ne fait plus que 20% du total, à en juger par la position de l'ascenseur dans l'exploration du document.
En me relisant pour la traque habituelle des fautes dans ce billet, je réalise à quel point il paraît bien plat à lire par rapport à ce que j'ai écris. Une fois encore j'ai hâte d'être en mesure de vous le présenter !

1 commentaire:

De Clichy À Annecy a dit…

C'est hallucinant comment l'humeur peut influencer ma rédaction (en terme de rendu, pas de qualité). En ce qui concerne les coulisses du chapitre 9, mon texte d'aujourd'hui (optimiste, stoïque, "philosophique") contraste totalement avec la suite (rédigée avant, mais que je n'ai pas relu, quelle logique dans le proecedé et la cohérence ! Là c'était plutôt sombre, défetiste, suicidaire...). Dit comme ça, ça n'a l'air de rien, mais s'en est drôle tellement c'est affligeant. Je rigolerais moins quand je devrait m'atter sérieusement à la tâche...