Comme vous le verez à la fin de l'article, j'ai au moins gagné le droit de réécrire l'introduction à l'intrigue (et peut-être de n'en avoir qu'une seule au lieu de deux ?)
Si mon titre est un double sens, c'est qu'en travaillant sur l'Organisation (avec un grand "O"), j'ai pu mettre en place une cohérence dans l'ensemble de mes textes. Dans l'idée de me faire excuser de ne pas avoir de vraie surprise pour ce 16 septembre (date symbolique pour ce projet), j'ai mis les bouchées doubles pour préparer la "fusion".
Car j'ai encore et toujours deux parties : la partie Clichy et la partie Annecy. J'ai remarqué récemment l'hétérogénéité des textes que forme ces parties (En deux mots, Annecy est bien plus long et intéressant à lire que Clichy, voilà c'est dit !), et je travaille à rétablir l'équilibre (dans le bon sens, qu'on se rassure tout de suite ! C'est à dire ramener Clichy au niveau d'Annecy !). Je ne mâche pas mes mots, c'est plus que bien parti.
En premier lieu, je suis passé de 55 à 36 textes, virant tout ceux dont je ne pouvais justifier la pertinence (même s'il y avait de l'idée). Puis j'ai essayer d'ordonner ce nouvel ensemble de textes. J'ai alors divisé ces textes en deux catégories, en gros ceux dont l'ordre a une importance et les autres. Résultat, il ne me reste plus que 10 textes à ordonner !
Comme d'habitude, je m'extasie derrières des données qui vous paraissent abstraites, j'en ai bien conscience, soulignons alors que cette avancée est bien réelle car elle a eu une traduction concrète : si je compte mes "notes" (2 documents), et le calendrier scolaire 2004-2005 comme documents d'appui, j'avais début septembre 16 documents de travail (autre que les textes) pour m'aider à la construction de l'œuvre. Désormais, je n'en utiliserais plus que 9 ! La fusion a pris, elle se fait lentement mais surement.
Comment cet exploit a-t-il était possible ? Comme d'habitude, avec une idée (de génie !). Cette idée porte sur la forme de rédaction, et la justification de cette imbrication :
-Partie Annecy : suite à un évènement qui l'a mis au devant de la scène (je ne peux pas préciser lequel, ce serait trop en dévoiler), Léo décide de donner sa version des faits, plus complète, moins impersonnelle que celle que peut en faire les médias.
-Partie Clichy : aux côté de son habituelle hypermnésie "tournée vers le futur", le narrateur se découvre en ce début septembre 2004, peu après avoir entrepris ce journal, un autre "don". Il en apprend peu à peu sur un certain Léo, un certain pilote de course qui a "fait quelque chose de particulier" (la même chose que celle évoquée plus haut puisqu'il s'agit du même Léo !). Bien sûr, le narrateur ne sait rien de cette chose, puisqu'il découvre, tout comme le lecteur, l'histoire au fur et à mesure de son déroulement.
Le hasard, qui a vu que j'avais bien travaillé, et qui passait par là (comme par nécessité...), a décidé de me faire un petit cadeau. Cela concerne le narrateur et Nassia. Mais puis-je en parler ici sans tuer le suspens ?
Quoiqu'il en soit, rendez-vous très prochainement pour une nouvelle introduction à l'intrigue !
1 commentaire:
Passé de 55 à 36 textes... Tu travailles texte par texte en les raccordant ensuite ? Est-ce que tu as un plan prédéfini ou plutôt une idée de ce que tu veux faire ?
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