Je commence par le proverbe du jour (une fois n'est pas coutume, non c'st pas celui-là auquel je voulais faire allusion) :
Les promesses les plus ambitieuses sont les plus difficiles à tenir.
Ce truisme me servira d'excuse pour ne pas approfondir dès ce billet la résolution de la chronologie, comme promis précédemment. Je ne voudrais pas faire une nouvelle promesse intenable, mais je souhaite lui dédier un billet...À l'occasion du prochain 17 juin ?
Alors que tout me prédisposait à "oublier temporairement" DCAA, j'ai été pris par un soubresaut d'idées et d'inspirations autour de la période Pilotage Passion, l'association montée par Léo et Sylvain. La situation du diesel en France, qui est à son paroxysme (on ne peut faire pire, et ça ne fera qu'aller mieux, une assertion un peu bizarre mais là n'est pas le sujet), m'a inspiré d'officialiser la démarche du duo dans cette préoccupation, par la visite d'un comité d'éthique. Car Pilotage Passion doit relevé un défi double : protéger l'image du sport automobile, ce qui sous-entend protéger l'image de l'automobile (et donc limiter ses dérivés tels que la diésélisation du parc et l'insécurité routière). Voilà j'en ai trop dit, je passe à la suite...
Pilotage Passion va donc copier la BAD sur un certains nombre d'initiatives, j'écris sur deux d'entre elles en ce moment. Mais il va arriver un certain nombre d'anecdotes, de "facts" (comment traduire cette acception du mot ?), que je suis en train de lister également.
Tout cela se passe donc entre 2003. 2003 marque le retour de Léo en France après sa saison japonaise, pour se consacrer pleinement à Pilotage Passion. Son retour n'a pas été sans péripéties, il suffit de voir l'épisode au cœur du texte "La vraie histoire" avec les sportives du dimanche. Faute de temps, je cite et je vérifierais plus tard si j'ai bien fait référence à cet épisode.
2003, c'est aussi l'année de la course de Gala de Deep Forest. Pourquoi et comment Léo a-t-il participé à cette course. Si jusqu'il y a quelques mois, la réponse adéquate était "parce que je le veux", aujourd'hui, cela découle d'une suite logique d'évènements. Évènements qui s'avère plus ou moins constructifs pour l'intrigue et la description de Léo (génial, donc !). Ce sera d'ailleurs, sauf incidents, l'objet de mon prochain billet.
Enfin, le sus-cité épisode japonais de 2003. J'ai l'impression de me répéter, mais la scène que j'appellerais "la scène de la maison", qui se déroulait initialement avec Caroline (qui la pauvre est la seule "des 4" à n'avoir bénéficié d'aucune forme de résurgence suite à la réforme de décembre 2009), arrivait comme un cheveu sur la soupe. Encore un ? Et oui, j'avais tendance à servir des soupes très chevelues jusque là. C'est de moins en moins vrai. L'épisode de la maison relève désormais de mon génie du double sens. Comprenez par là qu'une lecture de cet intermède japonais vous donnera une version des faits, mais qu'une inspection, une lecture entre les lignes vous en donnera une autre, surprenante à bien des égards...Mais il est peut-être un peu tôt pour parler de ça ?
Prochain billet : Léo victime et agresseur
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1 commentaire:
Notez que le billet suivant ne traite pas du "double-rôle" de Léo, comme prévu initialement.
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